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Informations
Catégorie :Category: Cours et Formulaires TI-89/92+/Voyage200
Auteur Author: capcod06
Type : Texte
Page(s) : 1
Taille Size: 2.79 Ko KB
Mis en ligne Uploaded: 24/02/2025 - 01:53:00
Uploadeur Uploader: capcod06 (Profil)
Téléchargements Downloads: 2
Visibilité Visibility: Archive publique
Shortlink : http://ti-pla.net/a4515360
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Description
Fichier Hibview/uView fait sur TI-Planet.org.
Compatible TI-89/92+/Voyage200
Requiert l'intallation d'un kernel/shell compatible et du programme Hibview/uView qui convient.
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Titre :
"Elon Musk: Messie ou fossoyeur de la démocratie ?"
Chapeau :
Elon Musk à la tête d'un département gouvernemental sous Trump ? Voilà qui ressemble davantage à un scénario dystopique qu’à une décision politique. Entre licenciements massifs et mainmise sur les finances publiques, le patron de Tesla joue un rôle qui inquiète autant qu’il fascine.
Billet d’humeur :
Et si la démocratie américaine n’était plus qu’un jouet entre les mains d’un milliardaire aux ambitions démesurées ?
Elon Musk, ce visionnaire autoproclamé qui, entre deux tweets cryptiques et une conquête de Mars hypothétique, se retrouve désormais aux commandes d’une portion significative du gouvernement américain. DOGE, un nom d’agence gouvernementale digne d’une blague de X, est sa nouvelle aire de jeu, et le clin d’œil à sa cryptomonnaie favorite, le Dogecoin, n’est évidemment pas un hasard. Le voilà qui utilise la machine étatique pour promouvoir un mème monétaire, comme si la gestion d’un pays relevait d’une stratégie de marketing.
Démantèlement des agences fédérales, prise de contrôle du système de paiement de l’État… Il ne manquerait plus qu’il rebaptise la Maison-Blanche en « X-Corp Headquarters » pour compléter le tableau. Pourtant, il reste encore des admirateurs prêts à voir en lui un héros du capitalisme libéré des entraves bureaucratiques. Après tout, c’est le même homme qui a transformé une voiture électrique en objet de désir et qui a vendu des lance-flammes « pour le fun ».
Cependant, quand un milliardaire excentrique non élu commence à décider de la gestion de milliards de dollars de fonds publics, il y a de quoi s’interroger. Ce n’est plus une simple excentricité de la Silicon Valley, c’est une réécriture des règles du jeu démocratique. La Constitution américaine ne mentionne pas de « Super CEO » omnipotent, que je sache.
Comme si cela ne suffisait pas, Musk ne peut s’empêcher de flirter avec la controverse. Récemment, il a été filmé en train de faire un geste de la main tristement célèbre, déclenchant une vague d’indignation. Une provocation ? Une erreur ? Ou simplement une énième manifestation de ce mépris absolu qu’il affiche pour la bienséance et les limites ? Dans tous les cas, il semble décidé à jouer avec le feu, quitte à embraser le peu de crédibilité démocratique qu’il reste.
Alors, devons-nous nous inquiéter ? Les démocrates tentent bien de l’arrêter, mais Musk avance avec la certitude de Tony Stark, sans Iron Man pour tempérer son égo. La seule différence, c’est que dans la vraie vie, les milliardaires n’ont pas de superpouvoirs… « juste » une influence tentaculaire qui façonne le monde à leur image, et ça, c’est peut-être encore plus terrifiant qu’un méchant de Marvel.
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Requiert l'intallation d'un kernel/shell compatible et du programme Hibview/uView qui convient.
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Titre :
"Elon Musk: Messie ou fossoyeur de la démocratie ?"
Chapeau :
Elon Musk à la tête d'un département gouvernemental sous Trump ? Voilà qui ressemble davantage à un scénario dystopique qu’à une décision politique. Entre licenciements massifs et mainmise sur les finances publiques, le patron de Tesla joue un rôle qui inquiète autant qu’il fascine.
Billet d’humeur :
Et si la démocratie américaine n’était plus qu’un jouet entre les mains d’un milliardaire aux ambitions démesurées ?
Elon Musk, ce visionnaire autoproclamé qui, entre deux tweets cryptiques et une conquête de Mars hypothétique, se retrouve désormais aux commandes d’une portion significative du gouvernement américain. DOGE, un nom d’agence gouvernementale digne d’une blague de X, est sa nouvelle aire de jeu, et le clin d’œil à sa cryptomonnaie favorite, le Dogecoin, n’est évidemment pas un hasard. Le voilà qui utilise la machine étatique pour promouvoir un mème monétaire, comme si la gestion d’un pays relevait d’une stratégie de marketing.
Démantèlement des agences fédérales, prise de contrôle du système de paiement de l’État… Il ne manquerait plus qu’il rebaptise la Maison-Blanche en « X-Corp Headquarters » pour compléter le tableau. Pourtant, il reste encore des admirateurs prêts à voir en lui un héros du capitalisme libéré des entraves bureaucratiques. Après tout, c’est le même homme qui a transformé une voiture électrique en objet de désir et qui a vendu des lance-flammes « pour le fun ».
Cependant, quand un milliardaire excentrique non élu commence à décider de la gestion de milliards de dollars de fonds publics, il y a de quoi s’interroger. Ce n’est plus une simple excentricité de la Silicon Valley, c’est une réécriture des règles du jeu démocratique. La Constitution américaine ne mentionne pas de « Super CEO » omnipotent, que je sache.
Comme si cela ne suffisait pas, Musk ne peut s’empêcher de flirter avec la controverse. Récemment, il a été filmé en train de faire un geste de la main tristement célèbre, déclenchant une vague d’indignation. Une provocation ? Une erreur ? Ou simplement une énième manifestation de ce mépris absolu qu’il affiche pour la bienséance et les limites ? Dans tous les cas, il semble décidé à jouer avec le feu, quitte à embraser le peu de crédibilité démocratique qu’il reste.
Alors, devons-nous nous inquiéter ? Les démocrates tentent bien de l’arrêter, mais Musk avance avec la certitude de Tony Stark, sans Iron Man pour tempérer son égo. La seule différence, c’est que dans la vraie vie, les milliardaires n’ont pas de superpouvoirs… « juste » une influence tentaculaire qui façonne le monde à leur image, et ça, c’est peut-être encore plus terrifiant qu’un méchant de Marvel.
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