question
File hierarchy
Downloads | ||||||
Files created online | (39554) | |||||
TI-89/92+/Voyage200 | (839) | |||||
Cours et Formulaires | (774) |
DownloadTélécharger
Actions
Vote :
ScreenshotAperçu
Informations
Catégorie :Category: Cours et Formulaires TI-89/92+/Voyage200
Auteur Author: vitvit2
Type : Texte
Page(s) : 1
Taille Size: 47.57 Ko KB
Mis en ligne Uploaded: 07/06/2014 - 21:01:20
Mis à jour Updated: 07/06/2014 - 21:02:53
Uploadeur Uploader: vitvit2 (Profil)
Téléchargements Downloads: 316
Visibilité Visibility: Archive publique
Shortlink : http://ti-pla.net/a70851
Type : Texte
Page(s) : 1
Taille Size: 47.57 Ko KB
Mis en ligne Uploaded: 07/06/2014 - 21:01:20
Mis à jour Updated: 07/06/2014 - 21:02:53
Uploadeur Uploader: vitvit2 (Profil)
Téléchargements Downloads: 316
Visibilité Visibility: Archive publique
Shortlink : http://ti-pla.net/a70851
Description
Fichier TxtView généré sur TI-Planet.org.
Compatible TI-89/92+/Voyage200
Nécessite l'intallation d'un kernel/shell compatible et du programme TxtView approprié.
<<
[i]1.L?information financière permet elle de donner une image fiable de l?entreprise ?
Éléments de réponse_:
OUI
? mémoire de l?entreprise, donc permet les comparaisons_;
? donne une valeur monétaire de la santé de l?entre prise par le CA, le résultat, le cours de l?action.
OUI MAIS seulement, car d?autres éléments sont à prendre en compte :
? la conjoncture du marché sur lequel se trouve l?entreprise, et le contexte économique (crise)_;
? les méthodes de management_;
? les concurrents...
2. La normalisation de l?information financière permet-elle de donner une image réelle de l?entreprise ?
OUI, la normalisation permet de donner une certaine image réelle car :
? il y a application de règles communes (donc chaque entreprise établit ses documents de synthèse sur les mêmes bases), et ces règles sont mises en place par des personnes neutres, sans parti pris (le législateur en ce qui concerne le Code de commerce, le PCG et les organismes de normalisation pour la normalisation internationale).
MAIS il faut respecter certaines conditions :
? Mettre en place un système de contrôle pour s?assurer du respect des règles.
? Les entreprises doivent faire preuve d?honnêteté et ne pas détourner ces règles en leur faveur pour cacher des informations qui pourraient nuire à l?image de l?entreprise, et par conséquent décourager les investisseurs.
? On n?a jamais la garantie que ces règles permettent de donner une image réelle de l?entreprise, car cela dépend du contexte économique : en cas de crise, il faut choisir entre la valeur du marché et le coût d?acquisition pour valoriser son patrimoine
3. Quels sont les principaux points communs et les principales différences entre le processus d?achat de biens et services (exploitation) et le processus d?acquisition des investissements?
Piste de réponses :
Points communs:
Les deux processus consistent à acquérir des biens ou des services.
L?entreprise s?engage contractuellement à payer le bien ou service acquis, ce qui se traduit dans une écriture comptable au journal par l?inscription d?une dette.
Le règlement de la dette au fournisseur est indépendant de l?inscription de la charge en comptabilité (traduction comptable possible grâce à la tenue des
comptes en partie double).
La phase amont de recherche du fournisseur (recherche, comparaison des offres...) relève du même mécanisme.
Similarité des documents commerciaux (bon de commande, facture).
Les deux processus contribuent au maintien, voire au développement de l?activité de l?entreprise.
Ces deux types d?achats sont susceptibles d?être soumis à TVA et générer de la TVA déductible.
Différences:
Le processus d?exploitation représente un cycle court, tandis que le processus d'investissement relève du long terme.
Le processus d?exploitation est engagé quotidiennement ; le processus d?investissement (bien qu?essentiel pour l?activité et récurrent) est engagé de façon plus espacée dans le temps. Cela se traduit d?ailleurs par l?utilisation de classes comptables différentes (classes 2 et 6).
Le processus d?exploitation d?achat génère une consommation immédiate, alors que la consommation des immobilisations est étalée dans le temps par le biais des amortissements.
Par conséquent, le résultat est grevé immédiatement par le processus d?achat, au contraire des acquisitions d?immobilisations dont l?impact est différé sur le résultat par le biais des amortissements (consommation des avantages économiques étalée sur plusieurs exercices).
Les achats d?exploitation sont généralement financés par la trésorerie disponible ou le crédit fournisseur,au contraire des acquisitions d?immobilisations pour lesquelles un financement externe par emprunt (ou mixte) est adopté.
Les frais de port sont intégrés au coût d?acquisition de l?immobilisation (leur impact sur le résultat est donc étalé au même rythme que les amortissements), à l?inverse des ports sur achats inscrits distinctement en charges.
La cession d?une immobilisation revêt un caractère exceptionnel, tandis que la cession d?une marchandise relève toujours de l?exploitation.
4. Les nouvelles technologies mises en oeuvre pour le traitement de l?information financière permettent-elle d?assurer la sécurité de l?information financière ?
Les nouvelles technologies utilisées par les entreprises pour le traitement de l?information financière se développent rapidement : dématérialisation des documents, utilisation de l?informatique en nuage (cloud), de la technologie des logiciels à la demande (mode « SaaS »). Elles doivent garantir la sécurité de l?information tant au niveau des traitements que pour la sauvegarde des données. L?utilisation d?applications (PGI par exemple) en mode SaaS permet de réduire les risques, en particulier pour les petites et moyennes entreprises. En effet, les PME n?ont pas toujours les moyens suffisants (en ressources humaines et financières) pour assurer la sécurité de leurs données.
Les traitements des données doivent être sécurisés par un accès limité aux seuls utilisateurs autorisés (grâce à des mesures d?identification et d?authentification) qui nécessitent une analyse préalable des missions des utilisateurs. Ces accès sont gérés à l?aide de droits préalablement établis.
Les sauvegardes externalisées (utilisation du cloud) permettent de garantir la disponibilité des données, leur accessibilité même si le système d?information de l?entreprise subit des dommages. Les sauvegardes sont automatisées selon une procédure définie en amont. Cette solution présente aussi l?avantage de limiter les erreurs humaines (lors de la manipulation des supports de sauvegarde par exemple).
Cependant, l?entreprise doit vérifier que les opérations de restauration des données soient efficaces.
L?entreprise doit garder le contrôle de ses données. En cas d?externalisation (informatique en nuage, mode Saas), toutes les conditions de sécurisation des données doivent être vérifiées : localisation des centres de traitement des données, sécurisation contre les incidents et intrusions. Le choix du prestataire est donc primordial.
Ces nouvelles technologies posent le problème de la dépendance des entreprises au réseau Internet. Les entreprises sont déjà dépendantes d?Internet (utilisation de la messagerie, de la téléphonie), et l?utilisation des nouvelles technologies ne fait qu?accroître cette dépendance. Il faut donc s?assurer de disposer d?une connexion adaptée aux besoins de l?entreprise.
5. L?application des principes comptables est-elle suffisante pour que comptabilité représente l?image fidèle du patrimoine et du résultat de l?entreprise ?
I/ L?application des principes comptables favorise l?objectif d?image fidèle
Les principes comptables sont les garants de la fiabilité de la comptabilité. Cette fiabilité permet aux parties prenantes d?avoir une lecture des comptes qui tend vers l?image fidèle.
Ils permettent une traduction unifiée de l?activité et du patrimoine de l?entreprise.
La régularisation des comptes permet d?ajuster les charges et produits. De ce fait, les consommations et produits sont fidèlement rattachés à l?exercice comptable qui les concerne.
Les principes comptables conduisent à comptabiliser des dotations aux amortissements qui doivent correspondre aux avantages économiques réellement consommés (voir cependant limite 2e partie)
Le principe de prudence conduit à comptabiliser des dépréciations sur les actifs. Les VNC doivent correspondre aux valeurs actuelles, c?est-à-dire donner une image fidèle de la valeur de l?actif.
Le principe de permanence des méthodes permet une comparabilité, notamment dans le temps, et améliore donc la perception de l?utilisateur des comptes sur l?image de l?entreprise.
II/ L?application des principes comptables n?est suffisante à donner une image fidèle
Les principes comptables (prudence, indépendance, continuité, permanence des méthodes) conduisent à enregistrer des amortissements qui représentent la consommation des avantages économiques. Cette consommation n?est pas certaine et se fonde essentiellement sur les plans d?amortissement prévisionnels
Le principe de prudence conduit à ne pas enregistrer les produits probables. Exemple :
Valorisation d?un immeuble supérieure à sa VNC (nous n?abordons pas ici la situation des réévaluations).
Les actifs sont souvent comptabilisés à leur coût d?acquisition, coût de production, valeur qui reste stable en comptabilité (sauf dépréciation estimée 1 fois par an généralement) mais pouvant s?éloigner d?une estimation précise et objective.
Il peut être très difficile de donner une valeur objective aux actifs détenus. Si le coût d?entrée de l?actif dans le patrimoine est une donnée souvent indiscutable (valeur du flux financier contrepartie du flux réel), sa valeur inscrite en comptabilité est immédiatement obsolète puisque la valeur « réelle » change en permanence en fonction de l?environnement et de celui qui procède à l?évaluation. Selon l?annexe, il peut être même très délicat de donner une valeur à un actif.
Le Code de Commerce reconnaît que la stricte application des principes comptables peut nuire à l?image fidèle.
6. Comment évaluer la performance d?une entreprise?
Introduction :
La performance se définit comme la réalisation d?un résultat équivalent ou supérieur à l?objectif fixé par l?entreprise compte tenu des moyens mis en oeuvre.
La performance d?une entreprise s?apprécie au regard de plusieurs éléments : son objet social, ses objectifs, les attentes des acteurs et les contraintes de son environnement. L?entreprise doit mesurer ses résultats afin d?en assurer un suivi régulier et vérifier qu?ils sont en phase avec les objectifs poursuivis ainsi qu?avec l?évolution de son environnement. Elle doit analyser les écarts constatés et décider des éventuelles interventions corr
Compatible TI-89/92+/Voyage200
Nécessite l'intallation d'un kernel/shell compatible et du programme TxtView approprié.
<<
[i]1.L?information financière permet elle de donner une image fiable de l?entreprise ?
Éléments de réponse_:
OUI
? mémoire de l?entreprise, donc permet les comparaisons_;
? donne une valeur monétaire de la santé de l?entre prise par le CA, le résultat, le cours de l?action.
OUI MAIS seulement, car d?autres éléments sont à prendre en compte :
? la conjoncture du marché sur lequel se trouve l?entreprise, et le contexte économique (crise)_;
? les méthodes de management_;
? les concurrents...
2. La normalisation de l?information financière permet-elle de donner une image réelle de l?entreprise ?
OUI, la normalisation permet de donner une certaine image réelle car :
? il y a application de règles communes (donc chaque entreprise établit ses documents de synthèse sur les mêmes bases), et ces règles sont mises en place par des personnes neutres, sans parti pris (le législateur en ce qui concerne le Code de commerce, le PCG et les organismes de normalisation pour la normalisation internationale).
MAIS il faut respecter certaines conditions :
? Mettre en place un système de contrôle pour s?assurer du respect des règles.
? Les entreprises doivent faire preuve d?honnêteté et ne pas détourner ces règles en leur faveur pour cacher des informations qui pourraient nuire à l?image de l?entreprise, et par conséquent décourager les investisseurs.
? On n?a jamais la garantie que ces règles permettent de donner une image réelle de l?entreprise, car cela dépend du contexte économique : en cas de crise, il faut choisir entre la valeur du marché et le coût d?acquisition pour valoriser son patrimoine
3. Quels sont les principaux points communs et les principales différences entre le processus d?achat de biens et services (exploitation) et le processus d?acquisition des investissements?
Piste de réponses :
Points communs:
Les deux processus consistent à acquérir des biens ou des services.
L?entreprise s?engage contractuellement à payer le bien ou service acquis, ce qui se traduit dans une écriture comptable au journal par l?inscription d?une dette.
Le règlement de la dette au fournisseur est indépendant de l?inscription de la charge en comptabilité (traduction comptable possible grâce à la tenue des
comptes en partie double).
La phase amont de recherche du fournisseur (recherche, comparaison des offres...) relève du même mécanisme.
Similarité des documents commerciaux (bon de commande, facture).
Les deux processus contribuent au maintien, voire au développement de l?activité de l?entreprise.
Ces deux types d?achats sont susceptibles d?être soumis à TVA et générer de la TVA déductible.
Différences:
Le processus d?exploitation représente un cycle court, tandis que le processus d'investissement relève du long terme.
Le processus d?exploitation est engagé quotidiennement ; le processus d?investissement (bien qu?essentiel pour l?activité et récurrent) est engagé de façon plus espacée dans le temps. Cela se traduit d?ailleurs par l?utilisation de classes comptables différentes (classes 2 et 6).
Le processus d?exploitation d?achat génère une consommation immédiate, alors que la consommation des immobilisations est étalée dans le temps par le biais des amortissements.
Par conséquent, le résultat est grevé immédiatement par le processus d?achat, au contraire des acquisitions d?immobilisations dont l?impact est différé sur le résultat par le biais des amortissements (consommation des avantages économiques étalée sur plusieurs exercices).
Les achats d?exploitation sont généralement financés par la trésorerie disponible ou le crédit fournisseur,au contraire des acquisitions d?immobilisations pour lesquelles un financement externe par emprunt (ou mixte) est adopté.
Les frais de port sont intégrés au coût d?acquisition de l?immobilisation (leur impact sur le résultat est donc étalé au même rythme que les amortissements), à l?inverse des ports sur achats inscrits distinctement en charges.
La cession d?une immobilisation revêt un caractère exceptionnel, tandis que la cession d?une marchandise relève toujours de l?exploitation.
4. Les nouvelles technologies mises en oeuvre pour le traitement de l?information financière permettent-elle d?assurer la sécurité de l?information financière ?
Les nouvelles technologies utilisées par les entreprises pour le traitement de l?information financière se développent rapidement : dématérialisation des documents, utilisation de l?informatique en nuage (cloud), de la technologie des logiciels à la demande (mode « SaaS »). Elles doivent garantir la sécurité de l?information tant au niveau des traitements que pour la sauvegarde des données. L?utilisation d?applications (PGI par exemple) en mode SaaS permet de réduire les risques, en particulier pour les petites et moyennes entreprises. En effet, les PME n?ont pas toujours les moyens suffisants (en ressources humaines et financières) pour assurer la sécurité de leurs données.
Les traitements des données doivent être sécurisés par un accès limité aux seuls utilisateurs autorisés (grâce à des mesures d?identification et d?authentification) qui nécessitent une analyse préalable des missions des utilisateurs. Ces accès sont gérés à l?aide de droits préalablement établis.
Les sauvegardes externalisées (utilisation du cloud) permettent de garantir la disponibilité des données, leur accessibilité même si le système d?information de l?entreprise subit des dommages. Les sauvegardes sont automatisées selon une procédure définie en amont. Cette solution présente aussi l?avantage de limiter les erreurs humaines (lors de la manipulation des supports de sauvegarde par exemple).
Cependant, l?entreprise doit vérifier que les opérations de restauration des données soient efficaces.
L?entreprise doit garder le contrôle de ses données. En cas d?externalisation (informatique en nuage, mode Saas), toutes les conditions de sécurisation des données doivent être vérifiées : localisation des centres de traitement des données, sécurisation contre les incidents et intrusions. Le choix du prestataire est donc primordial.
Ces nouvelles technologies posent le problème de la dépendance des entreprises au réseau Internet. Les entreprises sont déjà dépendantes d?Internet (utilisation de la messagerie, de la téléphonie), et l?utilisation des nouvelles technologies ne fait qu?accroître cette dépendance. Il faut donc s?assurer de disposer d?une connexion adaptée aux besoins de l?entreprise.
5. L?application des principes comptables est-elle suffisante pour que comptabilité représente l?image fidèle du patrimoine et du résultat de l?entreprise ?
I/ L?application des principes comptables favorise l?objectif d?image fidèle
Les principes comptables sont les garants de la fiabilité de la comptabilité. Cette fiabilité permet aux parties prenantes d?avoir une lecture des comptes qui tend vers l?image fidèle.
Ils permettent une traduction unifiée de l?activité et du patrimoine de l?entreprise.
La régularisation des comptes permet d?ajuster les charges et produits. De ce fait, les consommations et produits sont fidèlement rattachés à l?exercice comptable qui les concerne.
Les principes comptables conduisent à comptabiliser des dotations aux amortissements qui doivent correspondre aux avantages économiques réellement consommés (voir cependant limite 2e partie)
Le principe de prudence conduit à comptabiliser des dépréciations sur les actifs. Les VNC doivent correspondre aux valeurs actuelles, c?est-à-dire donner une image fidèle de la valeur de l?actif.
Le principe de permanence des méthodes permet une comparabilité, notamment dans le temps, et améliore donc la perception de l?utilisateur des comptes sur l?image de l?entreprise.
II/ L?application des principes comptables n?est suffisante à donner une image fidèle
Les principes comptables (prudence, indépendance, continuité, permanence des méthodes) conduisent à enregistrer des amortissements qui représentent la consommation des avantages économiques. Cette consommation n?est pas certaine et se fonde essentiellement sur les plans d?amortissement prévisionnels
Le principe de prudence conduit à ne pas enregistrer les produits probables. Exemple :
Valorisation d?un immeuble supérieure à sa VNC (nous n?abordons pas ici la situation des réévaluations).
Les actifs sont souvent comptabilisés à leur coût d?acquisition, coût de production, valeur qui reste stable en comptabilité (sauf dépréciation estimée 1 fois par an généralement) mais pouvant s?éloigner d?une estimation précise et objective.
Il peut être très difficile de donner une valeur objective aux actifs détenus. Si le coût d?entrée de l?actif dans le patrimoine est une donnée souvent indiscutable (valeur du flux financier contrepartie du flux réel), sa valeur inscrite en comptabilité est immédiatement obsolète puisque la valeur « réelle » change en permanence en fonction de l?environnement et de celui qui procède à l?évaluation. Selon l?annexe, il peut être même très délicat de donner une valeur à un actif.
Le Code de Commerce reconnaît que la stricte application des principes comptables peut nuire à l?image fidèle.
6. Comment évaluer la performance d?une entreprise?
Introduction :
La performance se définit comme la réalisation d?un résultat équivalent ou supérieur à l?objectif fixé par l?entreprise compte tenu des moyens mis en oeuvre.
La performance d?une entreprise s?apprécie au regard de plusieurs éléments : son objet social, ses objectifs, les attentes des acteurs et les contraintes de son environnement. L?entreprise doit mesurer ses résultats afin d?en assurer un suivi régulier et vérifier qu?ils sont en phase avec les objectifs poursuivis ainsi qu?avec l?évolution de son environnement. Elle doit analyser les écarts constatés et décider des éventuelles interventions corr