NumWorks 13.1 : unités + études nombres + touches Python
Posted: 28 Mar 2020, 09:35
Dans la crise sanitaire actuelle, NumWorks reste à tes côtés. Afin de t'accompagner dans tes apprentissages et devoirs avec un outil toujours plus exceptionnel, la nouvelle version NumWorks 13 est maintenant disponible.
Plus précisément il s'agit de la version 13.1.0 et nous allons découvrir ensemble les nouveautés apportées :
Plus précisément il s'agit de la version 13.1.0 et nous allons découvrir ensemble les nouveautés apportées :
1) Clavier et interface
Go to topDéjà grande nouveauté, dans l'ensemble des applications il t'est enfin possible de sélectionner naturellement du texte dans une zone de saisie. Cela se passe aussi naturellement que sur ordinateur, en maintenant la touche
La sélection pourra alors être coupée-copiée-collée-effacée à l'aide des raccourcis clavier.
C'est particulièrement bienvenu dans le cadre de l'application Python, pour une saisie encore plus rapide et donc agréable de tes scripts lorsqu'ils comporteront plusieurs lignes ou blocs similaires !
Notons également que le défilement des tableaux de valeurs présentés par les divers applications a été accéléré.
shiftpuis une touche fléchée.
La sélection pourra alors être coupée-copiée-collée-effacée à l'aide des raccourcis clavier.
C'est particulièrement bienvenu dans le cadre de l'application Python, pour une saisie encore plus rapide et donc agréable de tes scripts lorsqu'ils comporteront plusieurs lignes ou blocs similaires !
Notons également que le défilement des tableaux de valeurs présentés par les divers applications a été accéléré.
2) Paramètres et mode examen
Go to topAfin de cibler les besoin des différents pays et examens, la calculatrice dispose désormais de 2 modes examen au choix :
En plus du contenu mémoire, ce mode examen Dutch désactive comme indiqué l'application Python, car les Pays-Bas interdisent l'accès à tout éditeur de texte pendant les épreuves.
Et bien évidemment, une fois le mode examen néerlandais activé, il n'est plus possible d'altérer ces restrictions sans désactiver le mode examen et donc éteindre la diode. A priori NumWorks a bien codé la chose; changer la langue ou réactiver le mode examen ne permet pas de récupérer l'accès à l'application Python.
Les deux modes examens produiront de plus un signal différent sur la diode :
Enfin en ce qui nous concerne, notons qu'une fois le mode examen activé, son écran affiche maintenant les instructions permettant de le désactiver, à savoir la connexion à toute source d'alimentation USB (ordinateur, tablette, smartphone OTG, batterie USB, chargeur USB, ...).
- Standard, qui efface le contenu mémoire sans limitation de fonctionnalités comme exigé en France.
- Dutch, ciblant la réglementation plus restrictive des Pays-Bas qui viennent tout juste d'autoriser la calculatrice NumWorks aux examens.
En plus du contenu mémoire, ce mode examen Dutch désactive comme indiqué l'application Python, car les Pays-Bas interdisent l'accès à tout éditeur de texte pendant les épreuves.
Et bien évidemment, une fois le mode examen néerlandais activé, il n'est plus possible d'altérer ces restrictions sans désactiver le mode examen et donc éteindre la diode. A priori NumWorks a bien codé la chose; changer la langue ou réactiver le mode examen ne permet pas de récupérer l'accès à l'application Python.
Les deux modes examens produiront de plus un signal différent sur la diode :
- rouge en mode examen Standard
- jaune en mode examen Dutch
Enfin en ce qui nous concerne, notons qu'une fois le mode examen activé, son écran affiche maintenant les instructions permettant de le désactiver, à savoir la connexion à toute source d'alimentation USB (ordinateur, tablette, smartphone OTG, batterie USB, chargeur USB, ...).
3) Paramètres et Python
Go to topL'application Paramètres offre de plus désormais un nouveaux choix, celui de la taille de police qui sera utilisée dans l'application Python :
- Grande qui correspond à la taille utilisée jusqu'ici et permet d'afficher 12 lignes sur 29 colonnes
- Petite qui permet quant à elle d'afficher 16 lignes sur 42 colonnes
4) Python
Go to topEn ce qui concerne maintenant le langage Python nous avons beaucoup d'améliorations et nouveautés, n'ayons pas peur des mots et disons même énormément.
Déjà, autre amélioration de saisie mais dans le contexte Python, le catalogue accessible via la boîte à outils inclut désormais les fonctions associées à la classe list :
C'est l'occasion pour nous de te fournir une table des codes clavier retenus, où la logique visuelle de numérotation t'aidera peut-être à retenir :
On peut toutefois remarquer que la seule fonction fournie keydown() par le nouveau module ion ne permet que de savoir si une touche donnée est pressée ou pas.
Des scripts Python implémentant des jeux ou interfaces (pourquoi pas une boîte de saisie texte) vont donc devoir appeler cette fonction autant de fois qu'il y a de touches clavier traitées. On peut donc légitimement s'interroger sur ce que donne le temps d'exécution de la fonction potentiellement multiplié par les 46 touches clavier (ou plutôt 45, la touche d'allumage/exinction n'étant pas gérée par le module).
Et bien testons, voici getkeys.py, notre script où il te suffira d'un simple et unique appel getkeys() pour scanner l'ensemble de la matrice clavier et récupérer la liste des codes des touches actuellement pressées :
Nous allons de plus chronométrer l'appel getkeys() à l'aide de notre script timer.py :
L'appel maintenant devenu timer(getkeys) nous mesure donc autour 0,08 seconde pour le scan intégral du clavier, aussi bien sur N0100 que N0110.
8 centièmes de seconde ce n'est certes pas rien, mais c'est quand même très loin d'être la catastrophe que nous craignions. NumWorks semble avoir bien fait les choses.
Les jeux Python utilisant beaucoup de touches clavier seraient donc en théorie limités au mieux à 25 fps (images par seconde), ce qui est tout de même déjà humainement très acceptable. En pratique il suffira aux jeux en question de ne pas scanner l'intégralité du clavier mais seulement les touches utiles, et de toutes façons la lenteur des fonctions graphiques à ce jour ne pemet pas d'atteindre les 25 fps en Python même sans aucune lecture clavier.
En passant, si toi aussi tu souhaites optimiser tes tests de touches clavier dans le même style que notre fonction getkeys(), n'hésite pas à consulter le tutoriel associé à la nouvelle fonction keydown().
Suite à cet ajout majeur, profitons-en pour voir où nous en sommes niveau Python sur calculatrices. Voici déjà l'éventail des modules disponibles :
En terme de quantité de modules, la NumWorks arrive ainsi désormais au premier rang des solutions Python utilisables aux examens français, félicitations !
Et voici maintenant pour le contenu de ces mêmes modules :
En terme de richesse des modules, la NumWorks varie donc entre les 2ème et 3ème rangs !
Parlons maintenant mémoire. En Python il y a plus précisément 3 mémoires :
Avec la dernière version, tu disposais d'une mémoire de stockage pouvant accueillir jusqu'à 16 Kio de scripts Python.
La nouvelle version te double dès maintenant l'espace de stockage, avec pas moins de 32 Kio !
Pour le reste, le stack / pile limite donc la quantité d'objets différents utilisables simultanément, alors que le heap / tas en limite le volume.
Notre script mem.py permet d'estimer la capacité du heap / tas :
D'où le classement :
Par contre, NumWorks annonce avoir quadruplé la taille de la pile / stack pour la version 13.1, voyons cela. Comme déjà expliqué, cette augmentation devrait permettre d'avoir simultanément davantage d'objets en mémoire (mais pas davantage de données, les valeurs de ces objets allant comme déjà dit dans le tas / heap). C'est la même capacité que l'on peut partager entre davantage d'objets différents.
Comment mesurer cela ? Une situation qui permet de créer plein de références dans la pile / stack, c'est la récursivité, soit les fonctions qui se rappellent elles-mêmes. Prenons notre script recur.py :
L'appel maxr(sumr) permet en effet de constater un bon quadruplement du nombre maximal d'appels récursifs, passant de 30 à 143 avant le déclenchement de l'erreur maximum recursion depth exceeded, de quoi étudier et exploiter désormais bien plus sérieusement la récursivité !
Là encore une nette progression au classement en terme de capacité de pile / stack. Merci NumWorks, la calculatrice est donc dès maintenant le meilleur choix aux examens français sur le critère de la récursivité !
Déjà, autre amélioration de saisie mais dans le contexte Python, le catalogue accessible via la boîte à outils inclut désormais les fonctions associées à la classe list :
- list.append(x)
- list.clear()
- list.count(x)
- list.index(x)
- list.insert(i,x)
- list.pop(i)
- list.remove(x)
- list.reverse()
- list.sort()
En Python les possibilités d'interactions avec des interfaces, notamment pour des menus ou jeux, étaient très limitées sur la NumWorks.
En effet, il n'y avait pas de fonction permettant de tester la pression d'une touche. Pas d'autre choix donc jusqu'à présent que de passer par la fonction input(), avec donc obligation pour l'utilisateur de valider avec
En effet, il n'y avait pas de fonction permettant de tester la pression d'une touche. Pas d'autre choix donc jusqu'à présent que de passer par la fonction input(), avec donc obligation pour l'utilisateur de valider avec
EXEà chaque action, ce qui déjà rendait impossibles nombre de types de jeux.
NumWorks s'attaque enfin au problème dans cette dernière version, avec un nouveau module ion à cette fin dont voici l'exploration avec notre script explmod.py :
- Code: Select all
def getplatform():
id=-1
try:
import sys
try:
if sys.platform=='nspire':id=0
if sys.platform.startswith('TI-Python') or sys.platform=='Atmel SAMD21':id=4
except:id=3
except:
try:
import kandinsky
id=1
except:
try:
if chr(256)==chr(0):id=5+(not ("HP" in version()))
except:
id=2
return id
platform=getplatform()
#lines shown on screen
plines=[29,16, 7, 9,11,0,0]
#max chars per line
#(error or CR if exceeded)
pcols =[53,99,509,32,32,0,0]
nlines=plines[platform]
ncols=pcols[platform]
curline=0
def mprint(*ls):
global curline
st=""
for s in ls:
if not(isinstance(s,str)):
s=str(s)
st=st+s
stlines=1+int(len(st)/ncols)
if curline+stlines>=nlines:
input("Input to continue:")
curline=0
print(st)
curline+=stlines
def sstr(obj):
try:
s=obj.__name__
except:
s=str(obj)
a=s.find("'")
b=s.rfind("'")
if a>=0 and b!=a:
s=s[a+1:b]
return s
def isExplorable(obj):
s=str(obj)
return s.startswith("<") and s.find(" ")>=0
def explmod(pitm,pitmsl=[],reset=True):
global curline
if(reset):
curline=0
pitmsl=[sstr(pitm)]
hd="."*(len(pitmsl)-1)
spath=".".join(pitmsl)
c,c2=0,0
spitm=str(pitm)
for itms in sorted(dir(pitm)):
c,c2=c+1,c2+1
try:
itm=eval(spath+"."+itms)
mprint(hd+itms+"="+str(itm))
if isExplorable(itm) and itm!=pitm:
pitmsl2=pitmsl.copy()
pitmsl2.append(itms)
c2=c2+explmod(itm,pitmsl2,False)[1]
except:
mprint(hd+itms)
if c>0 and reset:
mprint(hd+"Total: "+str(c)+" 1st level item(s)")
if c2>0 and c2!=c:
mprint(hd+" "+str(c2)+" item(s)")
return [c,c2]
C'est l'occasion pour nous de te fournir une table des codes clavier retenus, où la logique visuelle de numérotation t'aidera peut-être à retenir :
← 0 | ↑ 1 | → 3 | ⌂ 6 | OK 4 | ↩ 5 |
↓ 2 | ⏻ | ||||
shift 12 | alpha 13 | x,n,t 14 | var 15 | ╒╕ 16 | ⌫ 17 |
e^x 18 | ln 19 | log 20 | i 21 | , 22 | x^y 23 |
sin 24 | cos 25 | tan 26 | π 27 | √ 28 | x² 29 |
7 30 | 8 31 | 9 32 | ( 33 | ) 34 | |
4 36 | 5 37 | 6 38 | × 39 | ÷ 40 | |
1 42 | 2 43 | 3 44 | + 45 | - 46 | |
0 48 | . 49 | ×10^x 50 | Ans 51 | EXE 52 |
On peut toutefois remarquer que la seule fonction fournie keydown() par le nouveau module ion ne permet que de savoir si une touche donnée est pressée ou pas.
Des scripts Python implémentant des jeux ou interfaces (pourquoi pas une boîte de saisie texte) vont donc devoir appeler cette fonction autant de fois qu'il y a de touches clavier traitées. On peut donc légitimement s'interroger sur ce que donne le temps d'exécution de la fonction potentiellement multiplié par les 46 touches clavier (ou plutôt 45, la touche d'allumage/exinction n'étant pas gérée par le module).
Et bien testons, voici getkeys.py, notre script où il te suffira d'un simple et unique appel getkeys() pour scanner l'ensemble de la matrice clavier et récupérer la liste des codes des touches actuellement pressées :
- Code: Select all
from ion import keydown
def keycodes():
lc = list(range(0,6)) + list(range(12,35))
for k in range(36,53):
if (k+1)%6:
lc.append(k)
return lc
def getkeys():
lk = []
for k in keycodes():
if keydown(k):
lk.append(k)
return lk
Nous allons de plus chronométrer l'appel getkeys() à l'aide de notre script timer.py :
- Code: Select all
from time import monotonic
def timer(f, *par):
start=monotonic()
f(*par)
return monotonic()-start
L'appel maintenant devenu timer(getkeys) nous mesure donc autour 0,08 seconde pour le scan intégral du clavier, aussi bien sur N0100 que N0110.
8 centièmes de seconde ce n'est certes pas rien, mais c'est quand même très loin d'être la catastrophe que nous craignions. NumWorks semble avoir bien fait les choses.
Les jeux Python utilisant beaucoup de touches clavier seraient donc en théorie limités au mieux à 25 fps (images par seconde), ce qui est tout de même déjà humainement très acceptable. En pratique il suffira aux jeux en question de ne pas scanner l'intégralité du clavier mais seulement les touches utiles, et de toutes façons la lenteur des fonctions graphiques à ce jour ne pemet pas d'atteindre les 25 fps en Python même sans aucune lecture clavier.
En passant, si toi aussi tu souhaites optimiser tes tests de touches clavier dans le même style que notre fonction getkeys(), n'hésite pas à consulter le tutoriel associé à la nouvelle fonction keydown().
De toutes nouvelles interfaces et jeux deviennent envisageables possibles sur ta NumWorks, et cent20 s'est dépêché de te les illustrer ci-contre avec le premier jeu utilisant le module ion, un démineur !
Suite à cet ajout majeur, profitons-en pour voir où nous en sommes niveau Python sur calculatrices. Voici déjà l'éventail des modules disponibles :
autorisés aux examens français | inutilisables aux examens français | |||||||
NumWorks | Casio Graph 35+E II 90+E | TI-83PCE Ed. Python | MicroPython TI-Nspire | CasioPython Casio Graph 35+E II 35+E/USB 75/85/95 | TI-Python | |||
builtins array collections cmath gc math micropython os random sys time turtle uerrno | ✓ . . ✓ . ✓ ✓ . ✓ . ✓ ✓ . | ✓ . . . . ✓ . . ✓ . . . . | ✓ ✓ ✓ . ✓ ✓ . . ✓ ✓ ✓ . . | ✓ ✓ . ✓ ✓ ✓ ✓ . . ✓ . . ✓ | ✓ ✓ . ✓ ✓ ✓ ✓ . . ✓ . . . | ✓ ✓ . ✓ ✓ ✓ ✓ . ✓ ✓ . . ✓ | ✓ ✓ ✓ . ✓ ✓ . . ✓ ✓ ✓ . . | ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ . . |
spécifique | kandinsky ion | prime | nsp | board storage | ||||
Total | 9 | 3 | 8 | 9 | 8 | 9 | 9 | 13 |
En terme de quantité de modules, la NumWorks arrive ainsi désormais au premier rang des solutions Python utilisables aux examens français, félicitations !
Aux examens :
- 9 modules :
NumWorks
HP Prime (version alpha) - 8 modules :
TI-83 Premium CE Edition Python - 3 modules :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 90+E
Hors examens :
- 13 modules :
TI-Python (firmware tiers) - 9 modules :
NumWorks
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 35+E/USB
Casio Graph 75/85/95
Casio fx-9750GII
Casio fx-9860GII
Casio fx-9860G
(appli CasioPython)
HP Prime (version alpha) - 8 modules :
TI-83 Premium CE Edition Python
TI-Python
TI-Nspire (appli MicroPython) - 3 modules :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 90+E
Casio fx-CG50
Et voici maintenant pour le contenu de ces mêmes modules :
autorisés aux examens français | inutilisables aux examens français | |||||||
NumWorks | Casio Graph 35+E II 90+E | TI-83PCE Ed. Python | MicroPython TI-Nspire | CasioPython Casio Graph 35+E II 35+E/USB 75/85/95 | TI-Python | |||
builtins array collections cmath gc math micropython os random sys time turtle uerrno | 88-188 . . 12 . 41 6 . 9 . 3 38 . | 84-175 . . . . 25 . . 8 . . . . | 92-189 2-4 2 . 7 28 . . 8 15-42 4 . . | 97-440 3-13 . 13-17 9-13 42-46 10-14 . . 17-63 . . 25-29 | 93-218 2-4 . 12 7 41 3 . . 15-45 . . . | 91-204 2-4 . 12 7 41 6 . 8 12 . . 24 | 92-189 2-4 2 . 7 28 . . 8 15-42 4 . . | 93-191 2-4 2 12 7 41 6 15 8 15-45 8-10 . . |
spécifique | 6(kandinsky) 48(ion) | 3-7(prime) | 3-10(nsp) | 22(board) 7-21(storage) | ||||
Total | 251-351 | 117-208 | 158-284 | 219-642 | 176-340 | 203-318 | 158-284 | 238-384 |
En terme de richesse des modules, la NumWorks varie donc entre les 2ème et 3ème rangs !
Aux examens :
- 219-642 éléments :
HP Prime (version alpha) - 251-351 éléments :
NumWorks - 158-284 éléments :
TI-83 Premium CE Edition Python - 117-208 éléments :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 90+E
Hors examens :
- 219-642 éléments :
HP Prime (version alpha) - 238-384 éléments :
TI-Python (firmware tiers) - 251-351 éléments :
NumWorks - 176-340 éléments :
TI-Nspire
(appli MicroPython) - 203-318 éléments :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 35+E/USB
Casio Graph 75/85/95
Casio fx-9750GII
Casio fx-9860GII
Casio fx-9860G
(appli CasioPython) - 158-284 éléments :
TI-83 Premium CE Edition Python
TI-Python - 117-208 éléments :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 90+E
Parlons maintenant mémoire. En Python il y a plus précisément 3 mémoires :
- la mémoire de stockage qui accueille et conserve tes scripts
- le stack (pile) qui, à l'exécution, accueille les références vers les objets créés
- le heap (tas) qui, à l'exécution, accueille les valeurs de ces objets
Avec la dernière version, tu disposais d'une mémoire de stockage pouvant accueillir jusqu'à 16 Kio de scripts Python.
La nouvelle version te double dès maintenant l'espace de stockage, avec pas moins de 32 Kio !
Pour le reste, le stack / pile limite donc la quantité d'objets différents utilisables simultanément, alors que le heap / tas en limite le volume.
La NumWorks était très décevante dans les deux cas, se retrouvant sur ces points littéralement à la queue de l'ensemble des solutions Python sur calculatrices graphiques.
Notre script mem.py permet d'estimer la capacité du heap / tas :
- Code: Select all
def sizeenv():
s=0
import __main__
for o in dir(__main__):
try:s+=size(eval(o))
except:pass
return s
def size(o):
s,t=0,type(o)
if t==str:s=49+len(o)
if str(t)=="<class 'function'>":s=136
if t==int:
s=24
while o:
s+=4
o>>=30
if t==list:
s+=64
for so in o:s+=8+size(so)
return s
def mem(v=1,r=1):
try:
l=[]
try:
l+=[r and 793+sizeenv()]
if v*r:print(" ",l[0])
l+=[0]
l+=[""]
l[2]+="x"
while 1:
try:l[2]+=l[2][l[1]:]
except:
if l[1]<len(l[2])-1:l[1]=len(l[2])-1
else:raise(Exception)
except:
if v:print("+",size(l))
try:l[0]+=size(l)
except:pass
try:l[0]+=mem(v,0)
except:pass
return l[0]
except:return 0
Celle-ci faisait 16 Kio sur les firmwares officiel, et cela n'a malheureusement pas changé pour la version 13.1.0.
En conséquence, vu les tailles non négligeables prises en mémoire par les objets Python les plus simples, tu seras très rapidement limité(e) dès que tes scripts vont commencer à travailler sur des tuples, listes ou pire listes de listes.
En conséquence, vu les tailles non négligeables prises en mémoire par les objets Python les plus simples, tu seras très rapidement limité(e) dès que tes scripts vont commencer à travailler sur des tuples, listes ou pire listes de listes.
D'où le classement :
Aux examens :
Hors examens :
- 2,049276 Mo :
TI-Nspire (application MicroPython) - 1,032942 Mo :
Casio Graph 90+E - 1,022145 Mo :
HP Prime (version alpha) - 257,636 Ko :
Casio Graph 35/75+E (application CasioPython) - 100,560 Ko :
Casio Graph 35+E II - 32,339 Ko
NumWorks (firmware Omega) - 31,899 Ko :
Casio Graph 35+E II (application CasioPython) - 22,605 Ko
TI-83 Premium CE + TI-Python (firmware tiers) - 20,200 Ko
TI-83 Premium CE Edition Python - 19,924 Ko
TI-83 Premium CE + TI-Python - 16,238 Ko
NumWorks
Par contre, NumWorks annonce avoir quadruplé la taille de la pile / stack pour la version 13.1, voyons cela. Comme déjà expliqué, cette augmentation devrait permettre d'avoir simultanément davantage d'objets en mémoire (mais pas davantage de données, les valeurs de ces objets allant comme déjà dit dans le tas / heap). C'est la même capacité que l'on peut partager entre davantage d'objets différents.
Comment mesurer cela ? Une situation qui permet de créer plein de références dans la pile / stack, c'est la récursivité, soit les fonctions qui se rappellent elles-mêmes. Prenons notre script recur.py :
- Code: Select all
def sumr(n):return n>0 and n+sumr(n-1)
def maxr(fct):
n=0
try:
while True:
fct(n)
n=n+1
except Exception as e:print(e)
return n
L'appel maxr(sumr) permet en effet de constater un bon quadruplement du nombre maximal d'appels récursifs, passant de 30 à 143 avant le déclenchement de l'erreur maximum recursion depth exceeded, de quoi étudier et exploiter désormais bien plus sérieusement la récursivité !
Là encore une nette progression au classement en terme de capacité de pile / stack. Merci NumWorks, la calculatrice est donc dès maintenant le meilleur choix aux examens français sur le critère de la récursivité !
Aux examens :
- 143 :
NumWorks (nouvelle version) - 82 :
Casio Graph 90+E
Casio Graph 35+E II - 77 :
HP Prime (version alpha) 30 :(ancienne version)
NumWorks- 23
TI-83 Premium CE Edition Python
Hors examens :
- 5362 :
Casio Graph 35/75+E (application CasioPython) - 655 :
Casio Graph 35+E II (application CasioPython) - 143 :
NumWorks (nouvelle version) - 130 :
TI-Nspire (application MicroPython) - 82 :
Casio Graph 90+E
Casio Graph 35+E II - 77 :
HP Prime (version alpha) 30 :(ancienne version)
NumWorks- 23
TI-83 Premium CE Edition Python - 20
TI-83 Premium CE + TI-Python - 15
TI-83 Premium CE + TI-Python (firmware tiers)
5) Calculs
Go to topNumWorks n'a également pas chômé avec l'application Calculs et nous apporte ici encore pléthore de nouveautés.
Déjà petite mise en bouche, NumWorks améliore l'intelligence de sa saisie. Lorsque par exemple on note f(5), sans connaître le contexte il y a ambiguité. Selon le contexte, cela peut être :
La NumWorks te permet désormais de calculer avec des nombres écrits en base non décimale :
Le résultat reste certes affiché en base décimale, et il n'y a pas d'option pour changer cela.
Toutefois, NumWorks a prévu autre chose pour tes conversions dans l'autre sens. Si tu remontes dans l'historique de calculs avec la touche
Mais ce n'est pas tout, NumWorks te propose également des résultats additionnels de façon similaire en cas de résultat rationnel (écriture exacte en fraction), avec :
Lorsque le résultat écrit sous forme exacte est un cosinus ou sinus de quelque chose, là NumWorks s'est déchaîné pour les résultats additionnels, avec :
Et alors attends tu n'as pas vu les nombres complexes, ici c'est de la folie avec comme résultats additionnels proposés :
Et non, ce n'est pas fini. Grâce au formidable travail de NumWorks, l'application Calculs gère désormais les unités, avec une toute nouvelle entrée pour t'en facilité la saisie dans la boîte à outils. De très nombreuses catégories d'unités sont présentes, de quoi couvrir l'ensemble de tes problèmes de Géométrie, Physique ou Chimie :
Les unités sont notées avec le caractère tiret bas comme préfixe, que tu pourras une fois habitué saisir directement au clavier avec
Bien que toutes les combinaisons ne soient pas au menu, précisons que la calculatrice reconnaît bien l'ensemble des préfixes du système international de 1012 (Tera) à 10-12 (pico) !
Rien à voir avec les unités proposée sur la concurrence de milieu de gamme où si c'est pas au menu c'est foutu. Ici les unités sont de véritables éléments gérés au niveau du moteur de calcul et que tu peux donc librement intégrer à ces derniers.
Tu peux notamment sommer différentes unités compatibles, avec un résultat automatiquement converti dans l'unité jugée la plus pertinente !
Tu as peut-être remarqué qu'il n'y avait pas de catégorie vitesse au menu, ces unités étant obtenues par un simple quotient. Les possibilités de combinaison sont infinies et permettront de gérer les unités les plus complexes !
Si jamais l'unité déterminée automatiquement pour le résultat ne te convient pas, tu pourras parfaitement la convertir dans toute unité compatible à l'aide de l'opérateur d'affectation obtenu via
Les unités sont tellement bien intégrées et gérées, qu'elles peuvent même accompagner les valeurs que tu stockes dans des variables. En Physique-Chimie notamment, si tu te donnes la peine de saisir chaque constante ou donnée d'une formule avec son unité, tu pourras obtenir automatiquement le résultat accompagné de son unité la plus pertinente pour rafler un maximum de points à tes exercices !
C'est fantastique, les équivalences d'unités sont même connues de la machine, comme ici le kilogramme mètre par seconde carrée automatiquement remplacé par le Newton !
Inversement, si l'énoncé de Physique-Chimie tente de te piéger en ne précisant de façon générique que SI (Système International) comme unité pour les constantes qu'il te rappelle, les formidables possibilités de combinaisons infinies de la NumWorks te permettront de retrouver la bonne unité !
Déjà petite mise en bouche, NumWorks améliore l'intelligence de sa saisie. Lorsque par exemple on note f(5), sans connaître le contexte il y a ambiguité. Selon le contexte, cela peut être :
- si f est une fonction, la fonction f appliquée à 5
- sinon, le produit de f par 5
Jusqu'à la dernière version, la NumWorks considérait systématiquement que c'était un appel de fonction, même si f n'en était pas une, et ne te donnait donc aucun résultat.
Désormais ta NumWorks tiens compte du contexte, et t'interprétera automatiquement cette saisie en tant que produit si f n'a pas été définie en tant que fonction.
La NumWorks te permet désormais de calculer avec des nombres écrits en base non décimale :
- base binaire en préfixant le nombre saisi par 0b
- base hexadécimale en préfixant le nombre saisi par 0x
Le résultat reste certes affiché en base décimale, et il n'y a pas d'option pour changer cela.
Toutefois, NumWorks a prévu autre chose pour tes conversions dans l'autre sens. Si tu remontes dans l'historique de calculs avec la touche
↑, chaque résultat entier sélectionné se verra adjoindre un bouton qu'il te suffira de valider pour obtenir automatiquement des résultats additionnels :
- la conversion en base hexadécimale
- la conversion en base binaire
- la décomposition en facteurs premiers
Mais ce n'est pas tout, NumWorks te propose également des résultats additionnels de façon similaire en cas de résultat rationnel (écriture exacte en fraction), avec :
- la conversion en fraction mixte (entier suivi d'une fraction propre, soit avec son numérateur inférieur au dénominateur)
- le détail de la division euclidienne du numérateur par le dénominateur
Lorsque le résultat écrit sous forme exacte est un cosinus ou sinus de quelque chose, là NumWorks s'est déchaîné pour les résultats additionnels, avec :
- représentation automatique et légendée du point associé sur le cercle trigonométrique
- cosinus associé sous forme exacte et décimale
- sinus associé sous forme exacte et décimale
Et alors attends tu n'as pas vu les nombres complexes, ici c'est de la folie avec comme résultats additionnels proposés :
- la représentation automatique et légendée du point associé dans le plan complexe
- le module sous forme exacte et décimale
- l'argument sous forme exacte et décimale
- la partie réelle sous forme exacte et décimale
- la partie imaginaire sous forme exacte et décimale
Et non, ce n'est pas fini. Grâce au formidable travail de NumWorks, l'application Calculs gère désormais les unités, avec une toute nouvelle entrée pour t'en facilité la saisie dans la boîte à outils. De très nombreuses catégories d'unités sont présentes, de quoi couvrir l'ensemble de tes problèmes de Géométrie, Physique ou Chimie :
- Temps
- Distance
- Masse
- Intensité du courant électrique
- Température
- Quantité de matière
- Intensité lumineuse
- Fréquence
- Force
- Pression
- Energie
- Puissance
- Charge électrique
- Tension électrique
- Capacité électrique
- Résistance électrique
- Conductance électrique
- Induction électrique
- Inductance
- Superficie
- Volume
Les unités sont notées avec le caractère tiret bas comme préfixe, que tu pourras une fois habitué saisir directement au clavier avec
shift
,. Le menu se donne même la peine de les légender dans ta langue une fois de plus !
Bien que toutes les combinaisons ne soient pas au menu, précisons que la calculatrice reconnaît bien l'ensemble des préfixes du système international de 1012 (Tera) à 10-12 (pico) !
Rien à voir avec les unités proposée sur la concurrence de milieu de gamme où si c'est pas au menu c'est foutu. Ici les unités sont de véritables éléments gérés au niveau du moteur de calcul et que tu peux donc librement intégrer à ces derniers.
Tu peux notamment sommer différentes unités compatibles, avec un résultat automatiquement converti dans l'unité jugée la plus pertinente !
Tu as peut-être remarqué qu'il n'y avait pas de catégorie vitesse au menu, ces unités étant obtenues par un simple quotient. Les possibilités de combinaison sont infinies et permettront de gérer les unités les plus complexes !
Si jamais l'unité déterminée automatiquement pour le résultat ne te convient pas, tu pourras parfaitement la convertir dans toute unité compatible à l'aide de l'opérateur d'affectation obtenu via
shift
x^y!
Les unités sont tellement bien intégrées et gérées, qu'elles peuvent même accompagner les valeurs que tu stockes dans des variables. En Physique-Chimie notamment, si tu te donnes la peine de saisir chaque constante ou donnée d'une formule avec son unité, tu pourras obtenir automatiquement le résultat accompagné de son unité la plus pertinente pour rafler un maximum de points à tes exercices !
C'est fantastique, les équivalences d'unités sont même connues de la machine, comme ici le kilogramme mètre par seconde carrée automatiquement remplacé par le Newton !
Inversement, si l'énoncé de Physique-Chimie tente de te piéger en ne précisant de façon générique que SI (Système International) comme unité pour les constantes qu'il te rappelle, les formidables possibilités de combinaisons infinies de la NumWorks te permettront de retrouver la bonne unité !
6) Probabilités
Go to topL'application Probabilités n'est pas en reste, NumWorks se donne la peine d'y rajouter une nouvelle loi, la loi de Fisher.
7) Équations
Go to topLa NumWorks te permettait déjà de résoudre des équations paramétrées, c'est-à-dire faisant intervenir des variables qui ne sont pas des inconnues mais ont bien été définies avec une valeur.
Il était donc dommage à l'écran des solutions de ne pas savoir à quelle(s) valeur(s) de paramètre(s) celles-ci correspondaient.
8) Fonctions
Go to topNumWorks te permet désormais de parcourir plus rapidement tes courbes de fonctions, le déplacement du curseur s'accélérant par augmentation du pas si tu maintenant la touche fléchée enfoncée.
9) Régressions
Go to topNumWorks s'est également occupé de l'application Régressions.
Le modèle de calcul utilisé pour les régressions Puissance et Trigonométrique n'était en effet pas celui majoritairement choisi par les logiciels de Mathématiques. Si bien que la concurrence était unanime à contredire à l'unisson les résultats de la NumWorks dans ces cas-là :
Le modèle de calcul utilisé pour les régressions Puissance et Trigonométrique n'était en effet pas celui majoritairement choisi par les logiciels de Mathématiques. Si bien que la concurrence était unanime à contredire à l'unisson les résultats de la NumWorks dans ces cas-là :
10) Conclusion
Go to topLes bonnes choses prennent du temps et franchement cela valait le coup d'attendre; nous ne sommes absolument pas déçus aujourd'hui avec cette dernière version absolument exceptionnelle pour ta NumWorks, riche de fonctionnalités innovantes ou jamais vu sur un modèle à ce prix-là !
Entiers, rationnels, fonctions trigonométriques et nombres complexes... à chaque fois, ce sont littéralement de mini-études que te réalise désormais NumWorks dans l'application Calculs !
Des représentations différentes qui t'amèneront à mieux comprendre chacun de ces résultats, ainsi qu'à développer ta compétence Représenter et passer à l'avenir plus naturellement d'une forme à l'autre. Une fonctionnalité donc d'une haute pertinence !
On peut de plus rajouter qu'il s'agit de fonctionnalités exclusives à ce jour, ou plus précisément dans le contexte particulier de cette année 2020 avec le mode examen.
Il n'y a en effet rien d'équivalent sur les modèles concurrents, il faut y comprendre/retenir plusieurs commandes spécifiques et encore pour obtenir à chaque fois un seul des éléments de la série de résultats additionnels présentés.
De telles choses n'y étaient possibles qu'en y chargeant des programmes que nous te proposions gratuitement les années précédentes, programmes hélas bloqués par le mode examen cette année.
NumWorks se met donc ainsi à te recréer gratuitement dans son propre mode examen des fonctionnalités équivalentes aux programmes les plus pertinents produits par la communauté pour la concurrence ces dernières années. N'oubliant pas les besoins des élèves, NumWorks semble ainsi être le constructeur ayant le mieux compris l'ensemble des conséquences de la réforme du mode examen !
On apprécie également la gestion des unités directement intégrée au niveau du moteur de calcul et donc sans contrainte, avec des possibilités infinies qui ne feront que faciliter la bonne compréhension des unités !
Et une fois encore, bravo pour le nouveau module importable ion pour Python, avec des possibilités débordant du cadre des Mathématiques qui seront appréciées en Physique-Chimie, SNT et NSI !
Toutes nos félicitations à NumWorks, cette version 13.1 c'est du grand art !
Et au plaisir de la prochaine version !
Entiers, rationnels, fonctions trigonométriques et nombres complexes... à chaque fois, ce sont littéralement de mini-études que te réalise désormais NumWorks dans l'application Calculs !
Des représentations différentes qui t'amèneront à mieux comprendre chacun de ces résultats, ainsi qu'à développer ta compétence Représenter et passer à l'avenir plus naturellement d'une forme à l'autre. Une fonctionnalité donc d'une haute pertinence !
On peut de plus rajouter qu'il s'agit de fonctionnalités exclusives à ce jour, ou plus précisément dans le contexte particulier de cette année 2020 avec le mode examen.
Il n'y a en effet rien d'équivalent sur les modèles concurrents, il faut y comprendre/retenir plusieurs commandes spécifiques et encore pour obtenir à chaque fois un seul des éléments de la série de résultats additionnels présentés.
De telles choses n'y étaient possibles qu'en y chargeant des programmes que nous te proposions gratuitement les années précédentes, programmes hélas bloqués par le mode examen cette année.
NumWorks se met donc ainsi à te recréer gratuitement dans son propre mode examen des fonctionnalités équivalentes aux programmes les plus pertinents produits par la communauté pour la concurrence ces dernières années. N'oubliant pas les besoins des élèves, NumWorks semble ainsi être le constructeur ayant le mieux compris l'ensemble des conséquences de la réforme du mode examen !
On apprécie également la gestion des unités directement intégrée au niveau du moteur de calcul et donc sans contrainte, avec des possibilités infinies qui ne feront que faciliter la bonne compréhension des unités !
Et une fois encore, bravo pour le nouveau module importable ion pour Python, avec des possibilités débordant du cadre des Mathématiques qui seront appréciées en Physique-Chimie, SNT et NSI !
Toutes nos félicitations à NumWorks, cette version 13.1 c'est du grand art !
Et au plaisir de la prochaine version !
Toutes ces superbes nouveautés ont toutefois un coût, la taille du firmware bondissant dans les 933 Kio avec la version 13.1.0.
Certes, aucune inquiétude à avoir pour le modèle de rentrée 2019 NumWorks N0110 avec ses 8 Mio de Flash.
Mais il n'en va pas de même pour le modèle initial NumWorks N0100 de rentrée 2017 avec seulement 1 Mio de Flash. A moins de possibilités d'optimisation encore inexploitées la NumWorks N0100 semble arriver en bout de course; elle ne pourra bientôt plus bénéficier de l'ensemble des ajouts des mises à jour à venir.
Certes, aucune inquiétude à avoir pour le modèle de rentrée 2019 NumWorks N0110 avec ses 8 Mio de Flash.
Mais il n'en va pas de même pour le modèle initial NumWorks N0100 de rentrée 2017 avec seulement 1 Mio de Flash. A moins de possibilités d'optimisation encore inexploitées la NumWorks N0100 semble arriver en bout de course; elle ne pourra bientôt plus bénéficier de l'ensemble des ajouts des mises à jour à venir.
Liens :
- Mise à jour (suivre les instructions)
- Simulateur en ligne
- Code source