un OS qui me semble dans la meme philisophie que des toolkits GUI pour PC, un peu comme FLTK mais en plus complique. Pas du tout comme les syscalls de Casio
Cela dit les syscalls de Casio c'est pas un modèle de dessin raisonnable pour un vrai OS ? J'ai pour habitude de considérer les toolkits graphiques comme plus pertinents pour les applications type bureautique (les jeux sont une exception, comme d'hab). Surtout que normalement ils ne t'empêchent pas de créer un widget de ton choix que tu dessines à la Casio. Après tout dépend de l'API proposée >_>
type tutoriel "Comment créer son application" (..) pas d'équivalent à un SDK type Casio/TI
C'est moins orienté extensions tierces que je ne le croyais alors.
Bibliothèque C/C++: freestanding et extrêmement spartiate, ce qui rend le portage de code tiers vers epsilon compliqué
Dans quelle mesure est-ce que Epsilon contient du code fait main qui aurait (du point de vue du développeurs tiers) mieux fait d'être porté/standard ?
Développement internes de NumWorks: les ingénieurs NumWorks développent chaque nouvelle version dans leur coin, puis quand c'est suffisamment prêt pour une beta ils dumpent d'un coup des centaines de commits sur leur dépôt officiel, les développeurs tiers comme moi manquent de visibilité sur les PR
À quel point est-ce possible qu'une PR tierce soit intégrée dans le dépôt puis maintenue par Numworks ?
Je suis en train de faire de la revue et documentation de code dans les sources de Symbolibre et je voulais en profiter pour voir quelques écueils à éviter - on risquerait de tomber dans les mêmes pièges que Numworks.