Dans un article précédent nous te présentions la dernière version d'Omega, le firmware tiers ultime pour ta NumWorks développé et testé par Quentin Guidee et ses illustres collaborateurs ci-dessous :
Omega permet en effet d'améliorer grandement les possibilités de ta NumWorks et ce même en mode examen. Citons entre autres :
Nombre de fonctionnalités parfaitement légitimes puisque disponibles en mode examen pour les candidats ayant choisi des modèles concurrents, un nivellement par le haut pour l'égalité entre candidats !
Omega permet en effet d'améliorer grandement les possibilités de ta NumWorks et ce même en mode examen. Citons entre autres :
- la réactivation du moteur de calcul littéral que NumWorks avait introduit dans sa version 1.2 pour le supprimer dans sa version 11
- une application Atom avec un tableau périodique des éléments
- une bibliothèque de constantes physiques
- une mémoire de travail étendue de 16K à 32K pour l'exécution de scripts Python plus conséquents notamment dans le cadre de projets
- une application avec une calculatrice RPN
- le support pour le rajout d'applications externes
- Nofrendo, émulateur de console de jeux Nintendo NES
- mais également KhiCAS par parisse.
Basée sur Xcas, son logiciel intégré de mathématiques, cette application étend les capacités mathématiques de ta NumWorks au niveau d'une HP Prime, bénéficiant du moteur de calcul formel GIAC avec notamment la possibilité de construire automatiquement des tableaux d'étude de fonction avec indications d'éléments de démarche !
Elle est de plus programmable sous deux syntaxes au choix, Xcas ou Python. Et en prime, le langage de programmation inclut des commandes de tracé à la Scratch/Logo pour réinvestir les acquis de collège !
Nombre de fonctionnalités parfaitement légitimes puisque disponibles en mode examen pour les candidats ayant choisi des modèles concurrents, un nivellement par le haut pour l'égalité entre candidats !
Aujourd'hui sort la nouvelle version Omega 1.19. Elle est basée sur le code source actuel du firmware Epsilon officiel en cours de développement, et elle t'inclut donc en avant-première les améliorations officielles que NumWorks a prévues pour la très prochaine version 13 dont le bêta-test vient tout juste d'être lancé !
Nous allons donc voir ensemble quelles sont les nouveautés apportées à la fois par NumWorks pour la version 13 et par l'équipe Omega pour la version 1.19, en te précisant bien à chaque fois de qui elles proviennent.
Notons déjà que les icônes d'applications ont été refondues pour être davantage en phase avec les couleurs du thème d'Omega.
1) Clavier et interface
Go to topGrande nouveauté, dans l'ensemble des applications il t'est enfin possible de sélectionner naturellement du texte dans une zone de saisie comme sur ordinateur, en maintenant la touche
La sélection pourra alors être coupée-copiée-collée-effacée à l'aide des raccourcis clavier.
C'est particulièrement bienvenu dans le cadre de l'application Python, pour une saisie encore plus rapide et donc agréable de tes scripts lorsqu'ils comporteront plusieurs lignes ou blocs similaires - merci NumWorks !
Notons également que le défilement des tableaux de valeurs présentés par les divers applications a été accéléré.
shiftpuis une touche fléchée.
La sélection pourra alors être coupée-copiée-collée-effacée à l'aide des raccourcis clavier.
C'est particulièrement bienvenu dans le cadre de l'application Python, pour une saisie encore plus rapide et donc agréable de tes scripts lorsqu'ils comporteront plusieurs lignes ou blocs similaires - merci NumWorks !
Notons également que le défilement des tableaux de valeurs présentés par les divers applications a été accéléré.
2) Paramètres globaux
Go to topGros ajout de l'équipe Omega, une langue supplémentaire est maintenant disponible, le Hongrois. De quoi contribuer grandement au rayonnement de la NumWorks hors de nos frontières, merci !
Pour plus de clareté, l'équipe Omega a regroupé l'ensemble des paramètres liés au calcul dans un sous-menu Math.
Note que tu pourras même y choisir le symbole de multiplication de ton choix, une exclusivité Omega à ce jour !
L'équipe Omega nous permet enfin d'avoir un peu de visibilité mémoire directement sur la calculatrice, avec l'affichage de la capacité RAM ainsi que de son utilisation à l'écran A propos. Actuellement nous avons 1K utilisé sur une capacité de 32K.
Afin de cibler les besoin des différents pays et examens, Omega dispose de 3 modes examens au choix désormais nommés de la façon suivante :
Pour plus de clareté, l'équipe Omega a regroupé l'ensemble des paramètres liés au calcul dans un sous-menu Math.
Note que tu pourras même y choisir le symbole de multiplication de ton choix, une exclusivité Omega à ce jour !
L'équipe Omega nous permet enfin d'avoir un peu de visibilité mémoire directement sur la calculatrice, avec l'affichage de la capacité RAM ainsi que de son utilisation à l'écran A propos. Actuellement nous avons 1K utilisé sur une capacité de 32K.
Afin de cibler les besoin des différents pays et examens, Omega dispose de 3 modes examens au choix désormais nommés de la façon suivante :
- Standard, qui efface le contenu mémoire comme exigé en France
- Sans symbolique, ciblant les pays interdisant les fonctionnalités de calcul formel ou même littéral (Italie, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni...).
En plus du contenu mémoire, il désactive en prime le mode de calcul littéral de l'application Calculs ainsi que l'accès aux applications externes, ce qui interdit donc KhiCAS par la même occasion. - Sans symbolique ni texte, ciblant les pays dont la réglementation interdit l'accès à tout éditeur de texte pendant les épreuves (Pays-Bas, ...).
En plus des points précédents, il désactive l'application Python.
- mauve
- orange
3) Paramètres et applications
Go to topL'application Paramètres offre de plus désormais un nouveaux choix, celui de la taille de police qui sera utilisée dans l'application Python :
- Grande qui correspond à la taille utilisée jusqu'ici et permet d'afficher 12 lignes sur 29 colonnes
- Petite qui permet quant à elle d'afficher 16 lignes sur 42 colonnes
Jusqu'à sa dernière version, le firmware officiel ainsi que ses dérivés avaient quand même le gros inconvénient de ne te laisser bien souvent visibles dans l'applications Calculs que les deux derniers calculs effectués, de part la grande taille de police utilisée.
L'équipe Omega s'attaque enfin à ce gros défaut et nous soulage avec une nouvelle option Mode d'affichage exclusive, qui te permet de sélectionner un nouvel affichage Compact pour l'application Calculs.
L'affichage des résultats sera alors effectué sur la même ligne lorsqu'il y aura suffisamment de place, et t'offrira donc une bien meilleure vue d'ensemble de ton historique de calculs !
L'affichage des résultats sera alors effectué sur la même ligne lorsqu'il y aura suffisamment de place, et t'offrira donc une bien meilleure vue d'ensemble de ton historique de calculs !
4) Python
Go to topL'équipe Omega te permet désormais de dupliquer tes scripts Python. Aucune besoin donc de les ouvrir pour t'embêter à en sélectionner et copier le code pour ensuite le coller dans un autre script !
NumWorks pour sa part nous apporte beaucoup d'améliorations et nouveautés à l'application Python, n'ayons pas peur des mots et disons même énormément.
Autre amélioration de saisie effectuée par NumWorks dans le contexte Python, le catalogue accessible via la boîte à outils inclut désormais les fonctions associées à la classe list :
Avec le dernier firmware officiel, tu diposais d'une mémoire de stockage pouvant accueillir jusqu'à 16 Kio de scripts Python. Dans sa dernière version, Omega t'avait étendu cette capacité à 20 Kio.
Et bien NumWorks semble avoir apprécié l'idée puisque la reprenant mais en mieux, augmentant l'espace de stockage de façon encore plus significative à 32 Kio !
C'est l'occasion pour nous de te fournir une table des codes clavier retenus, où la logique visuelle de numérotation t'aidera peut-être à retenir :
On peut toutefois remarquer que la seule fonction fournie keydown() par le nouveau module ion ne permet que de savoir si une touche donnée est pressée ou pas.
Des scripts Python implémentant des jeux ou interfaces (pourquoi pas une boîte de saisie texte) vont donc devoir appeler cette fonction autant de fois qu'il y a de touches clavier traitées. On peut donc légitimement s'interroger sur ce que donne le temps d'exécution de la fonction potentiellement multiplié par les 46 touches clavier (ou plutôt 45, la touche d'allumage/exinction n'étant pas gérée par le module).
Et bien testons, voici getkeys.py, notre script où il te suffira d'un simple et unique appel getkeys() pour scanner l'ensemble de la matrice clavier et récupérer la liste des codes des touches actuellement pressées :
Nous allons de plus chronométrer l'appel getkeys() à l'aide de notre script timer.py :
L'appel maintenant devenu timer(getkeys) nous mesure donc autour 0,04 seconde pour le scan intégral du clavier, aussi bien sur N0100 que N0110.
4 centièmes de seconde ce n'est certes pas rien, mais c'est quand même très loin d'être la catastrophe que nous craignions. NumWorks semble avoir bien fait les choses.
Les jeux Python utilisant beaucoup de touches clavier seraient donc en théorie limités au mieux à 25 fps (images par seconde), ce qui est tout de même déjà humainement très acceptable. En pratique il suffira aux jeux en question de ne pas scanner l'intégralité du clavier mais seulement les touches utiles, et de toutes façons la lenteur des fonctions graphiques à ce jour ne pemet pas d'atteindre les 25 fps en Python même sans aucune lecture clavier.
En passant, si toi aussi tu souhaites optimiser tes tests de touches clavier dans le même style que notre fonction getkeys(), n'hésite pas à consulter le tutoriel associé à la nouvelle fonction keydown().
Suite à cet ajout majeur, profitons-en pour voir où nous en sommes niveau Python sur calculatrices. Voici déjà l'éventail des modules disponibles :
En terme de quantité de modules, la NumWorks arrive ainsi désormais au premier rang des solutions Python utilisables aux examens français, félicitations !
Et voici maintenant pour le contenu de ces mêmes modules :
En terme de richesse des modules, la NumWorks varie donc entre les 2ème et 3ème rangs !
La mémoire utilisée pour exécuter les scripts Python est consituée de 2 zones :
Notre script mem.py permet d'estimer la capacité du tas (mémoire de travail) :
Omega permet ainsi à ta NumWorks de ganger de 2 à 5 places au classement en terme de capacité de tas / stack et ainsi de ne plus être dernière, loin de là !
Par contre, NumWorks annonce avoir quadruplé la taille de la pile / stack pour la version 13, voyons cela. Comme déjà expliqué, cette augmentation devrait permettre d'avoir simultanément davantage d'objets en mémoire (mais pas davantage de données, les valeurs de ces objets allant comme déjà dit dans le tas / heap). C'est la même capacité que l'on peut partager entre davantage d'objets différents.
Comment mesurer cela ? Une situation qui permet de créer plein de références dans la pile / stack, c'est la récursivité, soit les fonctions qui se rappellent elles-mêmes. Prenons notre script recur.py :
L'appel maxr(sumr) permet en effet de constater un bon quadruplement du nombre maximal d'appels récursifs, passant de 30 à 143 avant le déclenchement de l'erreur maximum recursion depth exceeded, de quoi étudier et exploiter désormais bien plus sérieusement la récursivité !
Là encore une nette progression au classement en terme de capacité de pile / stack. Merci cette fois-ci NumWorks, la calculatrice est donc dès maintenant le meilleur choix aux examens français sur le critère de la récursivité !
NumWorks pour sa part nous apporte beaucoup d'améliorations et nouveautés à l'application Python, n'ayons pas peur des mots et disons même énormément.
Autre amélioration de saisie effectuée par NumWorks dans le contexte Python, le catalogue accessible via la boîte à outils inclut désormais les fonctions associées à la classe list :
- list.append(x)
- list.clear()
- list.count(x)
- list.index(x)
- list.insert(i,x)
- list.pop(i)
- list.remove(x)
- list.reverse()
- list.sort()
Avec le dernier firmware officiel, tu diposais d'une mémoire de stockage pouvant accueillir jusqu'à 16 Kio de scripts Python. Dans sa dernière version, Omega t'avait étendu cette capacité à 20 Kio.
Et bien NumWorks semble avoir apprécié l'idée puisque la reprenant mais en mieux, augmentant l'espace de stockage de façon encore plus significative à 32 Kio !
En Python les possibilités d'interactions avec des interfaces, notamment pour des menus ou jeux, étaient très limitées sur la NumWorks.
En effet, il n'y avait pas de fonction permettant de tester la pression d'une touche.
En effet, il n'y avait pas de fonction permettant de tester la pression d'une touche.
NumWorks s'attaque enfin au problème dans la version 13, avec un nouveau module ion à cette fin dont voici l'exploration en avant-première avec notre script explmod.py :
- Code: Select all
def sstr(obj):
try:
s=obj.__name__
except:
s=str(obj)
a=s.find("'")
b=s.rfind("'")
if a>=0 and b!=a:
s=s[a+1:b]
return s
def isExplorable(obj):
s=str(obj)
return s.startswith("<module '") or s.startswith("<class '")
def explmod(pitm,pitmsl=[],reset=True):
global curline
if(reset):
curline=0
pitmsl=[sstr(pitm)]
hd="."*(len(pitmsl)-1)
spath=".".join(pitmsl)
c,c2=0,0
spitm=str(pitm)
for itms in sorted(dir(pitm)):
c,c2=c+1,c2+1
try:
itm=eval(spath+"."+itms)
print(hd+itms+"="+str(itm))
if isExplorable(itm) and itm!=pitm:
pitmsl2=pitmsl.copy()
pitmsl2.append(itms)
c2=c2+explmod(itm,pitmsl2,False)[1]
except:
print(hd+itms)
if c>0 and reset:
print(hd+"Total: "+str(c)+" 1st level item(s)")
if c2>0 and c2!=c:
print(hd+" "+str(c2)+" item(s)")
return [c,c2]
C'est l'occasion pour nous de te fournir une table des codes clavier retenus, où la logique visuelle de numérotation t'aidera peut-être à retenir :
← 0 | ↑ 1 | → 3 | ⌂ 6 | OK 4 | ↩ 5 |
↓ 2 | ⏻ | ||||
shift 12 | alpha 13 | x,n,t 14 | var 15 | ╒╕ 16 | ⌫ 17 |
e^x 18 | ln 19 | log 20 | i 21 | , 22 | x^y 23 |
sin 24 | cos 25 | tan 26 | π 27 | √ 28 | x² 29 |
7 30 | 8 31 | 9 32 | ( 33 | ) 34 | |
4 36 | 5 37 | 6 38 | × 39 | ÷ 40 | |
1 42 | 2 43 | 3 44 | + 45 | - 46 | |
0 48 | . 49 | ×10^x 50 | Ans 51 | EXE 52 |
On peut toutefois remarquer que la seule fonction fournie keydown() par le nouveau module ion ne permet que de savoir si une touche donnée est pressée ou pas.
Des scripts Python implémentant des jeux ou interfaces (pourquoi pas une boîte de saisie texte) vont donc devoir appeler cette fonction autant de fois qu'il y a de touches clavier traitées. On peut donc légitimement s'interroger sur ce que donne le temps d'exécution de la fonction potentiellement multiplié par les 46 touches clavier (ou plutôt 45, la touche d'allumage/exinction n'étant pas gérée par le module).
Et bien testons, voici getkeys.py, notre script où il te suffira d'un simple et unique appel getkeys() pour scanner l'ensemble de la matrice clavier et récupérer la liste des codes des touches actuellement pressées :
- Code: Select all
from ion import keydown
def keycodes():
lc = list(range(0,6)) + list(range(12,35))
for k in range(36,53):
if (k+1)%6:
lc.append(k)
return lc
def getkeys():
lk = []
for k in keycodes():
if keydown(k):
lk.append(k)
return lk
Nous allons de plus chronométrer l'appel getkeys() à l'aide de notre script timer.py :
- Code: Select all
from time import monotonic
def timer(f, *par):
start=monotonic()
f(*par)
return monotonic()-start
L'appel maintenant devenu timer(getkeys) nous mesure donc autour 0,04 seconde pour le scan intégral du clavier, aussi bien sur N0100 que N0110.
4 centièmes de seconde ce n'est certes pas rien, mais c'est quand même très loin d'être la catastrophe que nous craignions. NumWorks semble avoir bien fait les choses.
Les jeux Python utilisant beaucoup de touches clavier seraient donc en théorie limités au mieux à 25 fps (images par seconde), ce qui est tout de même déjà humainement très acceptable. En pratique il suffira aux jeux en question de ne pas scanner l'intégralité du clavier mais seulement les touches utiles, et de toutes façons la lenteur des fonctions graphiques à ce jour ne pemet pas d'atteindre les 25 fps en Python même sans aucune lecture clavier.
En passant, si toi aussi tu souhaites optimiser tes tests de touches clavier dans le même style que notre fonction getkeys(), n'hésite pas à consulter le tutoriel associé à la nouvelle fonction keydown().
Suite à cet ajout majeur, profitons-en pour voir où nous en sommes niveau Python sur calculatrices. Voici déjà l'éventail des modules disponibles :
autorisés aux examens français | inutilisables aux examens français | |||||||
NumWorks | Casio Graph 35+E II 90+E | TI-83PCE Ed. Python | MicroPython TI-Nspire | CasioPython Casio Graph 35+E II 35+E/USB 75/85/95 | TI-Python | |||
builtins array collections cmath gc math micropython os random sys time turtle uerrno | ✓ . . ✓ . ✓ ✓ . ✓ . ✓ ✓ . | ✓ . . . . ✓ . . ✓ . . . . | ✓ ✓ ✓ . ✓ ✓ . . ✓ ✓ ✓ . . | ✓ ✓ . ✓ ✓ ✓ ✓ . . ✓ . . ✓ | ✓ ✓ . ✓ ✓ ✓ ✓ . . ✓ . . . | ✓ ✓ . ✓ ✓ ✓ ✓ . ✓ ✓ . . ✓ | ✓ ✓ ✓ . ✓ ✓ . . ✓ ✓ ✓ . . | ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ ✓ . . |
spécifique | kandinsky ion | prime | nsp | board storage | ||||
Total | 9 | 3 | 8 | 9 | 8 | 9 | 9 | 13 |
En terme de quantité de modules, la NumWorks arrive ainsi désormais au premier rang des solutions Python utilisables aux examens français, félicitations !
Aux examens :
- 9 modules :
NumWorks
HP Prime (version alpha) - 8 modules :
TI-83 Premium CE Edition Python - 3 modules :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 90+E
Hors examens :
- 13 modules :
TI-Python (firmware tiers) - 9 modules :
NumWorks
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 35+E/USB
Casio Graph 75/85/95
Casio fx-9750GII
Casio fx-9860GII
Casio fx-9860G
(appli CasioPython)
HP Prime (version alpha) - 8 modules :
TI-83 Premium CE Edition Python
TI-Python
TI-Nspire (appli MicroPython) - 3 modules :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 90+E
Casio fx-CG50
Et voici maintenant pour le contenu de ces mêmes modules :
autorisés aux examens français | inutilisables aux examens français | |||||||
NumWorks | Casio Graph 35+E II 90+E | TI-83PCE Ed. Python | MicroPython TI-Nspire | CasioPython Casio Graph 35+E II 35+E/USB 75/85/95 | TI-Python | |||
builtins array collections cmath gc math micropython os random sys time turtle uerrno | 88-188 . . 12 . 41 6 . 8 . 3 38 . | 84-175 . . . . 25 . . 8 . . . . | 91-190 4 2 . 7 28 . . 8 15 4 . . | 97-428 3-13 . 13-17 9-13 42-46 10-14 . . 17-21 . . 25-29 | 93-218 4 . 12 7 41 3 . . 15 . . . | 91-204 4 . 12 7 41 6 . 8 12 . . 24 | 91-190 4 2 . 7 28 . . 8 15 4 . . | 93-191 4 2 12 7 41 6 15 8 15 10 . . |
spécifique | 6(kandinsky) 48(ion) | 3-7(prime) | 10(nsp) | 22(board) 21(storage) | ||||
Total | 250-350 | 117-208 | 159-258 | 219-588 | 185-310 | 205-318 | 159-258 | 213-354 |
En terme de richesse des modules, la NumWorks varie donc entre les 2ème et 3ème rangs !
Aux examens :
- 219-588 éléments :
HP Prime (version alpha) - 250-350 éléments :
NumWorks - 159-258 éléments :
TI-83 Premium CE Edition Python - 117-208 éléments :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 90+E
Hors examens :
- 219-588 éléments :
HP Prime (version alpha) - 213-354 éléments :
TI-Python (firmware tiers) - 250-350 éléments :
NumWorks - 205-318 éléments :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 35+E/USB
Casio Graph 75/85/95
Casio fx-9750GII
Casio fx-9860GII
Casio fx-9860G
(appli CasioPython) - 185-310 éléments :
TI-Nspire
(appli MicroPython) - 159-258 éléments :
TI-83 Premium CE Edition Python
TI-Python - 117-208 éléments :
Casio Graph 35+E II
Casio Graph 90+E
La mémoire utilisée pour exécuter les scripts Python est consituée de 2 zones :
- le stack (pile) qui accueille les références vers les objets créés
- le heap (tas - appelé vugairement chez nous mémoire de travail jusqu'à présent) qui accueille les valeurs de ces objets
La NumWorks était très décevante dans les deux cas, se retrouvant sur ces points littéralement à la queue de l'ensemble des solutions Python sur calculatrices graphiques.
Notre script mem.py permet d'estimer la capacité du tas (mémoire de travail) :
- Code: Select all
def sizeenv():
s=0
import __main__
for o in dir(__main__):
try:s+=size(eval(o))
except:pass
return s
def size(o):
s,t=0,type(o)
if t==str:s=49+len(o)
if str(t)=="<class 'function'>":s=136
if t==int:
s=24
while o:
s+=4
o>>=30
if t==list:
s+=64
for so in o:s+=8+size(so)
return s
def mem(v=1,r=1):
try:
l=[]
try:
l+=[r and 793+sizeenv()]
if v*r:print(" ",l[0])
l+=[0]
l+=[""]
l[2]+="x"
while 1:
try:l[2]+=l[2][l[1]:]
except:
if l[1]<len(l[2])-1:l[1]=len(l[2])-1
else:raise(Exception)
except:
if v:print("+",size(l))
try:l[0]+=size(l)
except:pass
try:l[0]+=mem(v,0)
except:pass
return l[0]
except:return 0
Celle-ci faisait 16 Kio sur les firmwares officiel, et cela n'a malheureusement pas changé pour la version 13.
En conséquence, vu les tailles non négligeables prises en mémoire par les objets Python les plus simples, tu seras très rapidement limité(e) dès que tes scripts vont commencer à travailler sur des tuples, listes ou pire listes de listes.
En conséquence, vu les tailles non négligeables prises en mémoire par les objets Python les plus simples, tu seras très rapidement limité(e) dès que tes scripts vont commencer à travailler sur des tuples, listes ou pire listes de listes.
Si par contre tu fais le choix du firmware Omega, tu pourras bénéficier d'un tas de 32 Kio, de quoi commencer à aborder des projets nettement plus ambitieux !
Omega permet ainsi à ta NumWorks de ganger de 2 à 5 places au classement en terme de capacité de tas / stack et ainsi de ne plus être dernière, loin de là !
Aux examens :
- 1,032942 Mo :
Casio Graph 90+E - 1,022145 Mo :
HP Prime (version alpha) - 100,560 Ko :
Casio Graph 35+E II - 32,339 Ko
NumWorks (firmware Omega) - 20,200 Ko
TI-83 Premium CE Edition Python - 16,259 Ko
NumWorks (firmware officiel)
Hors examens :
- 2,049276 Mo :
TI-Nspire (application MicroPython) - 1,032942 Mo :
Casio Graph 90+E - 1,022145 Mo :
HP Prime (version alpha) - 257,636 Ko :
Casio Graph 35/75+E (application CasioPython) - 100,560 Ko :
Casio Graph 35+E II - 32,339 Ko
NumWorks (firmware Omega) - 31,899 Ko :
Casio Graph 35+E II (application CasioPython) - 22,605 Ko
TI-83 Premium CE + TI-Python (firmware tiers) - 20,200 Ko
TI-83 Premium CE Edition Python - 19,924 Ko
TI-83 Premium CE + TI-Python - 16,238 Ko
NumWorks (firmware officiel)
Par contre, NumWorks annonce avoir quadruplé la taille de la pile / stack pour la version 13, voyons cela. Comme déjà expliqué, cette augmentation devrait permettre d'avoir simultanément davantage d'objets en mémoire (mais pas davantage de données, les valeurs de ces objets allant comme déjà dit dans le tas / heap). C'est la même capacité que l'on peut partager entre davantage d'objets différents.
Comment mesurer cela ? Une situation qui permet de créer plein de références dans la pile / stack, c'est la récursivité, soit les fonctions qui se rappellent elles-mêmes. Prenons notre script recur.py :
- Code: Select all
def sumr(n):return n>0 and n+sumr(n-1)
def maxr(fct):
n=0
try:
while True:
fct(n)
n=n+1
except Exception as e:print(e)
return n
L'appel maxr(sumr) permet en effet de constater un bon quadruplement du nombre maximal d'appels récursifs, passant de 30 à 143 avant le déclenchement de l'erreur maximum recursion depth exceeded, de quoi étudier et exploiter désormais bien plus sérieusement la récursivité !
Là encore une nette progression au classement en terme de capacité de pile / stack. Merci cette fois-ci NumWorks, la calculatrice est donc dès maintenant le meilleur choix aux examens français sur le critère de la récursivité !
Aux examens :
- 143 :
NumWorks (nouvelle version) - 82 :
Casio Graph 90+E
Casio Graph 35+E II - 77 :
HP Prime (version alpha) 30 :(ancienne version)
NumWorks- 23
TI-83 Premium CE Edition Python
Hors examens :
- 5362 :
Casio Graph 35/75+E (application CasioPython) - 655 :
Casio Graph 35+E II (application CasioPython) - 143 :
NumWorks (nouvelle version) - 130 :
TI-Nspire (application MicroPython) - 82 :
Casio Graph 90+E
Casio Graph 35+E II - 77 :
HP Prime (version alpha) 30 :(ancienne version)
NumWorks- 23
TI-83 Premium CE Edition Python - 20
TI-83 Premium CE + TI-Python - 15
TI-83 Premium CE + TI-Python (firmware tiers)
5) Calculs
Go to topNumWorks n'a également pas chômé avec l'application Calculs et nous apporte ici encore pléthore de nouveautés.
Déjà petite mise en bouche, NumWorks améliore l'intelligence de sa saisie. Lorsque par exemple on note f(5), sans connaître le contexte il y a ambiguité. Selon le contexte, cela peut être :
La NumWorks te permet désormais de calculer avec des nombres écrits en base non décimale :
Le résultat reste certes affiché en base décimale, et il n'y a pas d'option pour changer cela.
Toutefois, NumWorks a prévu autre chose pour tes conversions dans l'autre sens. Si tu remontes dans l'historique de calculs avec la touche
Mais ce n'est pas tout, NumWorks te propose également des résultats additionnels de façon similaire en cas de résultat rationnel (écriture exacte en fraction), avec :
Lorsque le résultat écrit sous forme exacte est un cosinus ou sinus de quelque chose, là NumWorks s'est déchaîné pour les résultats additionnels, avec :
Et alors attends tu n'as pas vu les nombres complexes, ici c'est de la folie avec comme résultats additionnels proposés :
Et non, ce n'est pas fini. Grâce au formidable travail de NumWorks, l'application Calculs gère désormais les unités, avec une toute nouvelle entrée pour t'en facilité la saisie dans la boîte à outils. De très nombreuses catégories d'unités sont présentes, de quoi couvrir l'ensemble de tes problèmes de Géométrie, Physique ou Chimie :
Les unités sont notées avec le caractère tiret bas comme préfixe, que tu pourras une fois habitué saisir directement au clavier avec
Bien que toutes les combinaisons ne soient pas au menu, précisons que la calculatrice reconnaît bien l'ensemble des préfixes du système international de 1012 (Tera) à 10-12 (pico) !
Rien à voir avec les unités proposée sur la concurrence de milieu de gamme où si c'est pas menu c'est foutu. Ici les unités sont de véritables éléments gérés au niveau du moteur de calcul et que tu peux donc librement intégrer à ces derniers.
Tu peux notamment sommer différentes unités compatibles, avec un résultat automatiquement converti dans l'unité jugée la plus pertinente !
Tu as peut-être remarqué qu'il n'y avait pas de catégorie vitesse au menu, ces unités étant obtenues par un simple quotient. Les possibilités de combinaison sont infinies et permettront de gérer les unités les plus complexes !
Si jamais l'unité déterminée automatiquement pour le résultat ne te convient pas, tu pourras parfaitement la convertir dans toute unité compatible à l'aide de l'opérateur d'affectation obtenu via
Les unités sont tellement bien intégrées et gérées, qu'elles peuvent même accompagner les valeurs que tu stockes dans des variables. En Physique-Chimie notamment, si tu te donnes la peine de saisir chaque constante ou donnée d'une formule avec son unité, tu pourras obtenir automatiquement le résultat accompagné de son unité la plus pertinente pour rafler un maximum de points à tes exercices !
C'est fantastique, les équivalences d'unités sont même connues de la machine, comme ici le kilogramme mètre par seconde carrée automatiquement remplacé par le Newton !
Inversement, si l'énoncé de Physique-Chimie tente de te piéger en ne précisant de façon générique que SI (Système International) comme unité pour les constantes qu'il te rappelle, les formidables possibilités de combinaisons infinies de la NumWorks te permettront de retrouver la bonne unité !
Déjà petite mise en bouche, NumWorks améliore l'intelligence de sa saisie. Lorsque par exemple on note f(5), sans connaître le contexte il y a ambiguité. Selon le contexte, cela peut être :
- si f est une fonction, la fonction f appliquée à 5
- sinon, le produit de f par 5
Jusqu'à la dernière version, la NumWorks considérait systématiquement que c'était un appel de fonction, même si f n'en était pas une, et ne te donnait donc aucun résultat.
Désormais ta NumWorks tiens compte du contexte, et t'interprétera automatiquement cette saisie en tant que produit si f n'a pas été définie en tant que fonction.
La NumWorks te permet désormais de calculer avec des nombres écrits en base non décimale :
- base binaire en préfixant le nombre saisi par 0b
- base hexadécimale en préfixant le nombre saisi par 0x
Le résultat reste certes affiché en base décimale, et il n'y a pas d'option pour changer cela.
Toutefois, NumWorks a prévu autre chose pour tes conversions dans l'autre sens. Si tu remontes dans l'historique de calculs avec la touche
↑, chaque résultat entier sélectionné se verra adjoindre un bouton qu'il te suffira de valider pour obtenir automatiquement des résultats additionnels :
- la conversion en base hexadécimale
- la conversion en base binaire
- la décomposition en facteurs premiers
Mais ce n'est pas tout, NumWorks te propose également des résultats additionnels de façon similaire en cas de résultat rationnel (écriture exacte en fraction), avec :
- la conversion en fraction mixte (entier suivi d'une fraction propre, soit avec son numérateur inférieur au dénominateur)
- le détail de la division euclidienne du numérateur par le dénominateur
Lorsque le résultat écrit sous forme exacte est un cosinus ou sinus de quelque chose, là NumWorks s'est déchaîné pour les résultats additionnels, avec :
- représentation automatique et légendée du point associé sur le cercle trigonométrique
- cosinus associé sous forme exacte et décimale
- sinus associé sous forme exacte et décimale
Et alors attends tu n'as pas vu les nombres complexes, ici c'est de la folie avec comme résultats additionnels proposés :
- la représentation automatique et légendée du point associé dans le plan complexe
- le module sous forme exacte et décimale
- l'argument sous forme exacte et décimale
- la partie réelle sous forme exacte et décimale
- la partie imaginaire sous forme exacte et décimale
Entiers, rationnels, fonctions trigonométriques et nombres complexes... à chaque fois, ce sont littéralement de mini-études que te réalise désormais NumWorks !
Des représentations différentes qui t'amèneront à mieux comprendre chacun de ces résultats, ainsi qu'à développer ta compétence Représenter et passer à l'avenir plus naturellement d'une forme à l'autre. Une fonctionnalité donc d'une haute pertinence !
On peut de plus rajouter qu'il s'agit de fonctionnalités exclusives à ce jour, ou plus précisément dans le contexte particulier de cette année 2020 avec le mode examen.
Il n'y a en effet rien d'équivalent sur les modèles concurrents, il faut y comprendre/retenir plusieurs commandes spécifiques et encore pour obtenir à chaque fois un seul des éléments de la série de résultats additionnels présentés.
De telles choses n'y étaient possibles qu'en y chargeant des programmes que nous te proposions gratuitement les années précédentes, programmes hélas bloqués par le mode examen cette année.
NumWorks se met donc ainsi à te recréer gratuitement dans son propre mode examen des fonctionnalités équivalentes aux programmes les plus pertinents produits par la communauté pour la concurrence ces dernières années. N'oubliant pas les besoins des élèves, NumWorks semble ainsi être le constructeur ayant le mieux compris l'ensemble des conséquences de la réforme du mode examen !
Des représentations différentes qui t'amèneront à mieux comprendre chacun de ces résultats, ainsi qu'à développer ta compétence Représenter et passer à l'avenir plus naturellement d'une forme à l'autre. Une fonctionnalité donc d'une haute pertinence !
On peut de plus rajouter qu'il s'agit de fonctionnalités exclusives à ce jour, ou plus précisément dans le contexte particulier de cette année 2020 avec le mode examen.
Il n'y a en effet rien d'équivalent sur les modèles concurrents, il faut y comprendre/retenir plusieurs commandes spécifiques et encore pour obtenir à chaque fois un seul des éléments de la série de résultats additionnels présentés.
De telles choses n'y étaient possibles qu'en y chargeant des programmes que nous te proposions gratuitement les années précédentes, programmes hélas bloqués par le mode examen cette année.
NumWorks se met donc ainsi à te recréer gratuitement dans son propre mode examen des fonctionnalités équivalentes aux programmes les plus pertinents produits par la communauté pour la concurrence ces dernières années. N'oubliant pas les besoins des élèves, NumWorks semble ainsi être le constructeur ayant le mieux compris l'ensemble des conséquences de la réforme du mode examen !
Et non, ce n'est pas fini. Grâce au formidable travail de NumWorks, l'application Calculs gère désormais les unités, avec une toute nouvelle entrée pour t'en facilité la saisie dans la boîte à outils. De très nombreuses catégories d'unités sont présentes, de quoi couvrir l'ensemble de tes problèmes de Géométrie, Physique ou Chimie :
- Temps
- Distance
- Masse
- Intensité du courant électrique
- Température
- Quantité de matière
- Intensité lumineuse
- Fréquence
- Force
- Pression
- Energie
- Puissance
- Charge électrique
- Tension électrique
- Capacité électrique
- Résistance électrique
- Conductance électrique
- Induction électrique
- Inductance
- Superficie
- Volume
Les unités sont notées avec le caractère tiret bas comme préfixe, que tu pourras une fois habitué saisir directement au clavier avec
shift
,. Le menu se donne même la peine de les légender dans ta langue une fois de plus !
Bien que toutes les combinaisons ne soient pas au menu, précisons que la calculatrice reconnaît bien l'ensemble des préfixes du système international de 1012 (Tera) à 10-12 (pico) !
Rien à voir avec les unités proposée sur la concurrence de milieu de gamme où si c'est pas menu c'est foutu. Ici les unités sont de véritables éléments gérés au niveau du moteur de calcul et que tu peux donc librement intégrer à ces derniers.
Tu peux notamment sommer différentes unités compatibles, avec un résultat automatiquement converti dans l'unité jugée la plus pertinente !
Tu as peut-être remarqué qu'il n'y avait pas de catégorie vitesse au menu, ces unités étant obtenues par un simple quotient. Les possibilités de combinaison sont infinies et permettront de gérer les unités les plus complexes !
Si jamais l'unité déterminée automatiquement pour le résultat ne te convient pas, tu pourras parfaitement la convertir dans toute unité compatible à l'aide de l'opérateur d'affectation obtenu via
shift
x^y!
Les unités sont tellement bien intégrées et gérées, qu'elles peuvent même accompagner les valeurs que tu stockes dans des variables. En Physique-Chimie notamment, si tu te donnes la peine de saisir chaque constante ou donnée d'une formule avec son unité, tu pourras obtenir automatiquement le résultat accompagné de son unité la plus pertinente pour rafler un maximum de points à tes exercices !
C'est fantastique, les équivalences d'unités sont même connues de la machine, comme ici le kilogramme mètre par seconde carrée automatiquement remplacé par le Newton !
Inversement, si l'énoncé de Physique-Chimie tente de te piéger en ne précisant de façon générique que SI (Système International) comme unité pour les constantes qu'il te rappelle, les formidables possibilités de combinaisons infinies de la NumWorks te permettront de retrouver la bonne unité !
6) Probabilités
Go to topL'application Probabilités n'est pas en reste, NumWorks se donne la peine d'y rajouter une nouvelle loi, la loi de Fisher.
7) Équations
Go to topLa NumWorks te permettait déjà de résoudre des équations paramétrées, c'est-à-dire faisant intervenir des variables qui ne sont pas des inconnues mais ont bien été définies avec une valeur.
Il était donc dommage à l'écran des solutions de ne pas savoir à quelle(s) valeur(s) de paramètre(s) celles-ci correspondaient.
8) Fonctions
Go to topNumWorks te permet désormais de parcourir plus rapidement tes courbes de fonctions, le déplacement du curseur s'accélérant par augmentation du pas si tu maintenant la touche fléchée enfoncée.
9) Régressions
Go to topNumWorks s'est également occupé de l'application Régressions.
Le modèle de calcul utilisé pour les régressions Puissance et Trigonométrique n'était pas celui majoritairement choisi par les logiciels de Mathématiques. Si bien que la concurrence était unanime à contredire à l'unison les résultats de la NumWorks dans ces cas-là :
10) Atom
Go to topDans la version précédente, Atom, l'application de tableau périodique des éléments dédiée à Omega, présentait dans les valeurs affichées plusieurs erreurs dues à divers décalages. Notamment dans les masses molaires et nombre de nucléons après la série des lanthanides.
C'est dès maintenant corrigé dans le nouvel Omega !
11) RPN
Go to topL'application RPN dédiée à Omega et permettant le calcul en notation postfixée autour d'une pile, présentait un thème d'affichage qui différait de celui de l'application Calculs officielle et n'en faisant pas bien ressortir la zone de saisie.
Le thème associé a maintenant été uniformisé.
12) External
Go to topL'équipe Omega s'est également occupée de son application dédiée External.
Elle n'est d'une part plus affichée sur le modèle NumWorks N0100 où elle était totalement inutile, puisqu'il n'y a pas de possibilité d'y rajouter des applications externes à ce jour.
D'autre part, de façon fort utile elle affiche maintenant l'adresse à laquelle l'on peut s'installer des applications additionnelles.
Elle n'est d'une part plus affichée sur le modèle NumWorks N0100 où elle était totalement inutile, puisqu'il n'y a pas de possibilité d'y rajouter des applications externes à ce jour.
D'autre part, de façon fort utile elle affiche maintenant l'adresse à laquelle l'on peut s'installer des applications additionnelles.
13) Conclusion
Go to topLes bonnes choses prennent du temps et franchement cela valait le coup d'attendre; nous ne sommes absolument pas déçus aujourd'hui avec ce firmware conjoint absolument exceptionnel par NumWorks et Omega, riche de fonctionnalités innovantes ou jamais vu sur un modèle à ce prix-là; l'union fait clairement la force !
Toutes nos félicitations à NumWorks ainsi qu'à l'ensemble de l'équipe Omega !
Et au plaisir de découvrir vos prochaines versions !
Toutes nos félicitations à NumWorks ainsi qu'à l'ensemble de l'équipe Omega !
Et au plaisir de découvrir vos prochaines versions !
14) Installation Omega et KhiCAS
Go to topPour installer Omega rien de plus simple. De façon similaire à ce qui existait déjà pour les applications externes, un installateur en ligne est désormais également disponible pour Omega. Il te suffira tout simplement de connecter ta calculatrice, d'ouvrir la page liée en fin d'article dans ton navigateur, puis d'un seul clic !
Notons qu'un tutoriel pour une installation avancée est également disponible et lié ci-après pour ceux qui souhaitent compiler Omega par eux-mêmes. Une méthode qui te donne accès à des possibilités supplémentaires, comme celle de protéger ta NumWorks contre le vol en signant l'écran A propos avec ton nom ou tout ce que tu veux, ainsi que la possibilité de te choisir un des 4 thèmes disponibles :
Les applications externes KhiCAS et autres sont pour leur part à installer séparément avec leur propre installateur en ligne dédié, également lié en fin d'article.
Tu auras besoin pour cela d'un navigateur utilisant un moteur Chromium ou compatible : Google Chrome, Microsoft Edge...
Notons qu'un tutoriel pour une installation avancée est également disponible et lié ci-après pour ceux qui souhaitent compiler Omega par eux-mêmes. Une méthode qui te donne accès à des possibilités supplémentaires, comme celle de protéger ta NumWorks contre le vol en signant l'écran A propos avec ton nom ou tout ce que tu veux, ainsi que la possibilité de te choisir un des 4 thèmes disponibles :
- epsilon_light
- epsilon_dark
- omega_light (par défaut)
- omega_dark
Les applications externes KhiCAS et autres sont pour leur part à installer séparément avec leur propre installateur en ligne dédié, également lié en fin d'article.
Liens :
- installateur Omega en ligne
- installateur applications externes en ligne (dont KhiCAS - pour NumWorks N0110 uniquement)
- tutoriel d'installation Omega avancée
- tutoriel Python ion.keydown()
- site web d'Omega
- code source d'Omega
- code source officiel
Téléchargements :
- simulateur Omega pour navigateur / Android
- firmware Omega pour NumWorks N0100 / N0110