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Inspiré d'AgregOS en 2018 sortait CAPESOS, le système d'exploitation Linux embarqué sur clé USB pour les candidats invités aux épreuves orales du concours du CAPES de Mathématiques.Aujourd'hui en 2020 CAPESOS se diversifie et est distribué en deux éditions :
- une pour le CAPES de Mathématiques
- une pour le nouveau CAPES de NSI
Après l'édition Mathématiques, CAPESOS édition NSI est dès maintenant disponible, dans sa toute première version 2020a.
Bizarrement, les émulateurs NumWorks ou d'autres calculatrices graphiques n'ont ici pas été retenus, malgré les formidables efforts des constructeurs ces dernières années dans le contexte du Python, débordant parfois largement du champ des Mathématiques.
Si les calculatrices graphiques ne permettant certes pas de couvrir l'ensemble du programme de NSI, elles n'en conservent pas moins bien des avantages non négligeables et avantageusement exploitables pour une partie du programme :
Bizarre donc de ne pas avoir retenu cette technologie alors que paradoxalement l'une des épreuves orales d'admission demande de présenter une ou plusieurs activités pédagogiques (cours, TD, TP, projet, ...), c'est-à-dire de préférence des activités pertinentes pouvant être facilement mises en place dans le contexte scolaire.
Si les calculatrices graphiques ne permettant certes pas de couvrir l'ensemble du programme de NSI, elles n'en conservent pas moins bien des avantages non négligeables et avantageusement exploitables pour une partie du programme :
- déjà disponibles puisque apportées individuellement par chaque élève
- bien moins chères que des tablettes/smartphones, un ordre de grandeur en-dessous avec des prix à 2 chiffres au lieu de 3, non négligeable que ce soit financé par les familles ou la collectivité
- bien plus robustes que des tablettes/smartphones puisque conçues spécifiquement pour le contexte scolaire hostile (chutes, chocs, nombreuses variations quotidiennes de température au gré des déplacements d'un cours à l'autre, ...)
- un clavier physique, c'est quand même bien plus confortable et efficace qu'une tablette/smartphone pour coder
- une autonomie bien supérieure à celle des tablettes/smartphones ces derniers ayant bien du mal à tenir plus d'une demi-journée d'utilisation continue sans alimentation externe, alors que la calculatrice allumée en permanence même la nuit tiendra sans problème plusieurs jours de suite
- permettent de coder/dérouler des projets en situation nomade avec donc bien plus de libertés qu'une salle informatique
- hors changement de réglementation, une obsolescence prenant bien plus de temps que pour les tablettes/smartphones, si bien que le matériel peut même être revendu en fin de scolarité à des prix tout sauf négligeables par rapport à l'investissement initial
- libèrent l'enseignement de toute dépendance envers la salle informatique du lycée ou les crédits d'achat de tablettes/smartphones
Bizarre donc de ne pas avoir retenu cette technologie alors que paradoxalement l'une des épreuves orales d'admission demande de présenter une ou plusieurs activités pédagogiques (cours, TD, TP, projet, ...), c'est-à-dire de préférence des activités pertinentes pouvant être facilement mises en place dans le contexte scolaire.
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