La Boxing week est une période de 6 jours débutant le 26 décembre. Le terme, inventé et popularisé dans les années 2000 en Grande Bretagne et dans les pays du Commonwealth, désigne une période de promotions où les différents distributeurs écoulent leur stock d'invendus de Noël, à l'origine à des prix intéressants.
Dans notre (Un)Boxing week 2019 sur TI-Planet, nous te proposons donc, cette semaine uniquement, de te déballer ou tester tous nos cadeaux inédits à raison de 1 par jour, un petit avant-goût des recherches, tests et expériences à venir sur le site pour l'année 2020 !
Même si tu l'ignores, Texas Instruments n'a pas fait que des calculatrices comme produits électroniques grand public.
En 1987, Texas Instruments lance sa branche d'assistants électroniques de poche gérant les données personnelles (répertoires téléphoniques et carnets d'adresses électroniques - en anglais data banks), avec le TI-2700 Mini Data Bank.
En 1991, Texas Instruments sépare cette branche en deux sous-branches qui évolueront en parallèle, avec une nouvelle gamme de produits : les agendas électroniques (en anglais personal organizers). La nuance est qu'ils disposent en plus d'un calendrier permettant de créer des rendez-vous, et potentiellement de les associer aux données précédemment citées. Le premier du nom est le PS-6200, et à partir de ce moment-là les modèles sortis dans ces deux branches seront tous préfixés par PS pour Pocket Solutions.
En 1997, Texas Instruments rafraîchit la branche des personal organizers avec un éventail de trois nouveaux modèles pour lesquels il opte de plus pour un nouveau préfixe, PocketMate :
Nous voici donc réunis aujourd'hui pour le test du PocketMate 400 sorti en 1997.
Le boîtier se déplie avec :
Le PocketMate 400 est la version haut de gamme de la dernière série de personal organizers par Texas Instruments, différant par leur mémoire comme indiqué en façade au-dessus de l'écran :
La face arrière nous indique une alimentation par 2 piles bouton CR2032 de 3 Volts chacune.
On note un timbre à date C-1097 indiquant un assemblage en octobre 1997 dans l'usine C (Thaïlande).
Les contacts métalliques que laissent apparaître 5 orifices rapprochés ne sont pas le buzzer piézoélectrique même si ça y ressemble beaucoup, mais un port de connectivité permettant de sauvegarder et charger les données avec un ordinateur. Il faut toutefois pour cela une station d'accueil (docking station), périphérique intermédiaire se connectant sur le port série DB9 de l'ordinateur, le Quick-connect PC Link dont nous ne disposons pas à ce jour.
L'écran est conçu pour afficher 6 lignes de 24 caractères chacune. L'affichage de chaque caractère est confié à une cellule matricielle de 5×5 pixels.
24 cellules matricielles de 5×1 pixels permettent également de souligner la 1ère ligne et la préssenter ainsi comme un titre.
Notons de plus que l'écran peut être éclairé pour une meilleure lisibilité.
Les grosses touches bleues permettent de basculer entre les principales applications disponibles :
Nous avons aussi comme autres applications :
Options permet quant à elle d'accéder à l'ensemble des réglages et donc d'en apprendre davantage sur cet appareil.
Par exemple, les données ne sont pas perdues lors d'un changement de piles à condition de changer les piles une par une, en commençant par la n°2.
Ce qui veut dire que le stockage des jusqu'à 256 Kio de données s'effecture dans une mémoire RAM et non une mémoire Flash, ce qui est cohérent pour l'époque, les premières calculatrices à mémoire Flash n'arrivant qu'en 1998 (TI-73 et TI-89) et 1999 (TI-83 Plus et TI-92 Plus).
On confirme en passant bien qu'il s'agit de 256 Kio de stockage (c'est-à-dire 256×1024 octets) puisque nous avons pas moins de 261343 octets disponibles.
Un sous-menu Options permet également d'accéder à tout une autre série de possibilités couvrant pléthore de besoins de par le monde.
On peut y choisir entre autres si la semaine démarre le Lundi ou le Dimanche, le délai d'extinction, ou encore la langue parmi les 5 disponibles :
Pour l'époque c'était effectivement bien du haut de gamme !
Outre le buzzer piézoélectrique faisant un petit bip à chaque pression de touche, l'ouverture nous révèle pas moins de 3 cartes électroniques reliées par des nappes, avec de haut en bas :
Sur la carte principale, nous notons plusieurs puces :
Les modèles inférieurs PocketMate 200 et PocketMate 300 ne diffèrent que par ces dernières puces.
Sur le PocketMate 300 l'emplacement U10 est laissé vide, ce qui ne fait donc bien que 128 Kio.
Mais cela nous permet surtout de remarquer que chaque emplacement est en fait double, avec des U11 et U12 respectivement dans les U9et U10, destinés à accueillir des puces plus petites.
Et effectivement sur le PocketMate 200 ce sont les petits emplacements U11 et U12 qui sont utilisés pour accueillir 2 petites puces RAM de 32 Kio chacune, ce qui ne donne bien plus que 64 Kio.
Dans notre (Un)Boxing week 2019 sur TI-Planet, nous te proposons donc, cette semaine uniquement, de te déballer ou tester tous nos cadeaux inédits à raison de 1 par jour, un petit avant-goût des recherches, tests et expériences à venir sur le site pour l'année 2020 !
Même si tu l'ignores, Texas Instruments n'a pas fait que des calculatrices comme produits électroniques grand public.
En 1987, Texas Instruments lance sa branche d'assistants électroniques de poche gérant les données personnelles (répertoires téléphoniques et carnets d'adresses électroniques - en anglais data banks), avec le TI-2700 Mini Data Bank.
En 1991, Texas Instruments sépare cette branche en deux sous-branches qui évolueront en parallèle, avec une nouvelle gamme de produits : les agendas électroniques (en anglais personal organizers). La nuance est qu'ils disposent en plus d'un calendrier permettant de créer des rendez-vous, et potentiellement de les associer aux données précédemment citées. Le premier du nom est le PS-6200, et à partir de ce moment-là les modèles sortis dans ces deux branches seront tous préfixés par PS pour Pocket Solutions.
En 1997, Texas Instruments rafraîchit la branche des personal organizers avec un éventail de trois nouveaux modèles pour lesquels il opte de plus pour un nouveau préfixe, PocketMate :
- le PocketMate 200
- le PocketMate 300
- le PocketMate 400
Nous voici donc réunis aujourd'hui pour le test du PocketMate 400 sorti en 1997.
Le boîtier se déplie avec :
- dans sa moitié haute l'écran ainsi qu'un clavier calculatrice
- dans sa moitié basse un clavier Qwerty
Le PocketMate 400 est la version haut de gamme de la dernière série de personal organizers par Texas Instruments, différant par leur mémoire comme indiqué en façade au-dessus de l'écran :
- PocketMate 200 : 64 Kio
- PocketMate 300 : 128 Kio
- PocketMate 400 : 256 Kio
La face arrière nous indique une alimentation par 2 piles bouton CR2032 de 3 Volts chacune.
On note un timbre à date C-1097 indiquant un assemblage en octobre 1997 dans l'usine C (Thaïlande).
Les contacts métalliques que laissent apparaître 5 orifices rapprochés ne sont pas le buzzer piézoélectrique même si ça y ressemble beaucoup, mais un port de connectivité permettant de sauvegarder et charger les données avec un ordinateur. Il faut toutefois pour cela une station d'accueil (docking station), périphérique intermédiaire se connectant sur le port série DB9 de l'ordinateur, le Quick-connect PC Link dont nous ne disposons pas à ce jour.
L'écran est conçu pour afficher 6 lignes de 24 caractères chacune. L'affichage de chaque caractère est confié à une cellule matricielle de 5×5 pixels.
24 cellules matricielles de 5×1 pixels permettent également de souligner la 1ère ligne et la préssenter ainsi comme un titre.
Notons de plus que l'écran peut être éclairé pour une meilleure lisibilité.
Les grosses touches bleues permettent de basculer entre les principales applications disponibles :
Addresses
pour les adressesNotes
pour les mémosRemiders
pour les rendez-vous
Menupermet quant à elle d'afficher un menu principal spécifique à chacune de ces applications.
Nous avons aussi comme autres applications :
Calculator
pour une calculatrice non scientifique (1+2×3=9) sur 10 chiffres significatifsFind
pour effectuer une recherche parmi tout ou partie des données précédentes- et
Options
Options permet quant à elle d'accéder à l'ensemble des réglages et donc d'en apprendre davantage sur cet appareil.
Par exemple, les données ne sont pas perdues lors d'un changement de piles à condition de changer les piles une par une, en commençant par la n°2.
Ce qui veut dire que le stockage des jusqu'à 256 Kio de données s'effecture dans une mémoire RAM et non une mémoire Flash, ce qui est cohérent pour l'époque, les premières calculatrices à mémoire Flash n'arrivant qu'en 1998 (TI-73 et TI-89) et 1999 (TI-83 Plus et TI-92 Plus).
On confirme en passant bien qu'il s'agit de 256 Kio de stockage (c'est-à-dire 256×1024 octets) puisque nous avons pas moins de 261343 octets disponibles.
Un sous-menu Options permet également d'accéder à tout une autre série de possibilités couvrant pléthore de besoins de par le monde.
On peut y choisir entre autres si la semaine démarre le Lundi ou le Dimanche, le délai d'extinction, ou encore la langue parmi les 5 disponibles :
- Anglais
EspagnolCastillan- Français
- Italien
- Allemand
Pour l'époque c'était effectivement bien du haut de gamme !
Outre le buzzer piézoélectrique faisant un petit bip à chaque pression de touche, l'ouverture nous révèle pas moins de 3 cartes électroniques reliées par des nappes, avec de haut en bas :
- la carte écran de référence T686-20-1 avec pas moins de 2 circuits intégrés inconnus aux emplacements U1 et U2
- la carte principale
- la carte de communication
Sur la carte principale, nous notons plusieurs puces :
- à l'emplacement IC1 une T6M88 de chez Toshiba, le processeur avec coeur compatible z80 comme pour les calculatrices graphiques de la marque
- à l'emplacement U6 une AB235120063 qui est en fait la ROM de 64 Kio contenant donc le microprogramme exécuté
- aux emplacements U9 et U10 2 puces KM681000CLG-7L de chez SEC qui sont de la RAM de 128 Kio chacune ce qui nous donne bien les 256 Kio promis
Les modèles inférieurs PocketMate 200 et PocketMate 300 ne diffèrent que par ces dernières puces.
Sur le PocketMate 300 l'emplacement U10 est laissé vide, ce qui ne fait donc bien que 128 Kio.
Mais cela nous permet surtout de remarquer que chaque emplacement est en fait double, avec des U11 et U12 respectivement dans les U9et U10, destinés à accueillir des puces plus petites.
Et effectivement sur le PocketMate 200 ce sont les petits emplacements U11 et U12 qui sont utilisés pour accueillir 2 petites puces RAM de 32 Kio chacune, ce qui ne donne bien plus que 64 Kio.
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