La Boxing week est une période de 6 jours débutant le 26 décembre. Le terme, inventé et popularisé dans les années 2000 en Grande Bretagne et dans les pays du Commonwealth, désigne une période de promotions où les différents distributeurs écoulent leur stock d'invendus de Noël, à l'origine à des prix intéressants.
Dans notre (Un)Boxing week 2019 sur TI-Planet, nous te proposons donc, cette semaine uniquement, de te déballer ou tester tous nos cadeaux inédits à raison de 1 par jour, un petit avant-goût des recherches, tests et expériences à venir sur le site pour l'année 2020 !
Même si tu l'ignores, Texas Instruments n'a pas fait que des calculatrices comme produits électroniques grand public.
En 1987, Texas Instruments lance sa branche d'assistants électroniques de poche gérant les données personnelles (répertoires téléphoniques et carnets d'adresses électroniques - en anglais data banks), avec le TI-2700 Mini Data Bank.
En 1991, Texas Instruments sépare cette branche en deux sous-branches qui évolueront en parallèle, avec une nouvelle gamme de produits : les agendas électroniques (en anglais personal organizers). La nuance est qu'ils disposent en plus d'un calendrier permettant de créer des rendez-vous, et potentiellement de les associer aux données précédemment citées. Le premier du nom est le PS-6200, et à partir de ce moment-là les modèles sortis dans ces deux branches seront tous préfixés par PS pour Pocket Solutions.
En 1998, Texas Instruments rafraîchit la branche des data banks avec un éventail de trois nouveaux modèles pour lesquels il opte de plus pour un nouveau préfixe, PM :
Nous voici donc réunis aujourd'hui pour le test du PM-140 sorti en 1998.
Une fois déplié, l'appareil nous présente :
Le PM-140 est la version haut de gamme de la dernière série de data banks par Texas Instruments, différant par leur mémoire comme indiqué en façade au-dessus de l'écran :
La face arrière nous indique une alimentation par 2 piles bouton CR2032 de 3 Volts chacune.
On note un timbre à date C-1198 indiquant un assemblage en novembre 1998 dans l'usine C (Thaïlande).
L'écran est conçu pour afficher 3 lignes de 12 caractères chacune:
Notons de plus que l'écran peut être éclairé pour une meilleure lisibilité.
Par rapport au PocketMate 400 on ressent une ici une intégration nettement inférieure, les taches plus restreintes étant éclatées entre davantage d'applications de plus bien plus cloisonnées.
Notons toutefois les touches
Nous avons aussi
L'ouverture nous révèle une unique carte électronique architecturée autour des puces inconnues présentes aux emplacements U1 et U2.
On peut toutefois comprendre leur rôle en consultant les modèles inférieurs PM-100 et PM-120.
Sur la PM-100 qui n'a que 2 Kio de mémoire, la puce à l'emplacement U4 est absente.
Par élimination la puce à l'emplacement U1 doit intégrer le processeur ainsi qu'un espace de stockage de 2 Kio.
Quant à la puce à l'emplacement U4 il s'agit donc probablement d'une mémoire RAM :
Sur le PocketMate 300 l'emplacement U10 est laissé vide, ce qui ne fait donc bien que 128 Kio.
Mais cela nous permet surtout de remarquer que chaque emplacement est en fait double, avec des U11 et U12 respectivement dans les U9et U10, destinés à accueillir des puces plus petites.
Notons d'ailleurs une curiosité avec une espèce de feuille non solidarisée au dos de l'écran sur le seul PM-140.
En effet le PM-140 est le seul modèle offrant un éclairage de l'écran, et c'est cette feuille qui le fournit comme tu peux le constater ci-contre.
Dans notre (Un)Boxing week 2019 sur TI-Planet, nous te proposons donc, cette semaine uniquement, de te déballer ou tester tous nos cadeaux inédits à raison de 1 par jour, un petit avant-goût des recherches, tests et expériences à venir sur le site pour l'année 2020 !
Même si tu l'ignores, Texas Instruments n'a pas fait que des calculatrices comme produits électroniques grand public.
En 1987, Texas Instruments lance sa branche d'assistants électroniques de poche gérant les données personnelles (répertoires téléphoniques et carnets d'adresses électroniques - en anglais data banks), avec le TI-2700 Mini Data Bank.
En 1991, Texas Instruments sépare cette branche en deux sous-branches qui évolueront en parallèle, avec une nouvelle gamme de produits : les agendas électroniques (en anglais personal organizers). La nuance est qu'ils disposent en plus d'un calendrier permettant de créer des rendez-vous, et potentiellement de les associer aux données précédemment citées. Le premier du nom est le PS-6200, et à partir de ce moment-là les modèles sortis dans ces deux branches seront tous préfixés par PS pour Pocket Solutions.
En 1998, Texas Instruments rafraîchit la branche des data banks avec un éventail de trois nouveaux modèles pour lesquels il opte de plus pour un nouveau préfixe, PM :
- le PM-100
- le PM-120
- le PM-140
Nous voici donc réunis aujourd'hui pour le test du PM-140 sorti en 1998.
Une fois déplié, l'appareil nous présente :
- dans sa partie haute l'écran ainsi qu'un clavier calculatrice et la pavé directionnel
- dans sa partie basse un clavier Qwerty
Le PM-140 est la version haut de gamme de la dernière série de data banks par Texas Instruments, différant par leur mémoire comme indiqué en façade au-dessus de l'écran :
La face arrière nous indique une alimentation par 2 piles bouton CR2032 de 3 Volts chacune.
On note un timbre à date C-1198 indiquant un assemblage en novembre 1998 dans l'usine C (Thaïlande).
L'écran est conçu pour afficher 3 lignes de 12 caractères chacune:
- 1 ligne de caractères chacun confié à une cellule matricielle de 5×5 pixels
- 2 lignes de chiffres chacun confié à une cellule numérique à 7 segments
Notons de plus que l'écran peut être éclairé pour une meilleure lisibilité.
Par rapport au PocketMate 400 on ressent une ici une intégration nettement inférieure, les taches plus restreintes étant éclatées entre davantage d'applications de plus bien plus cloisonnées.
Notons toutefois les touches
Company,
Privateet
Otherqui permettent de basculer entre les données personnelles et professionnelles au sein de ces diverses applications.
Nous avons aussi
Calculatorpour une calculatrice non scientifique (1+2×3=9) sur pas moins de 12 chiffres significatifs.
L'ouverture nous révèle une unique carte électronique architecturée autour des puces inconnues présentes aux emplacements U1 et U2.
On peut toutefois comprendre leur rôle en consultant les modèles inférieurs PM-100 et PM-120.
Sur la PM-100 qui n'a que 2 Kio de mémoire, la puce à l'emplacement U4 est absente.
Par élimination la puce à l'emplacement U1 doit intégrer le processeur ainsi qu'un espace de stockage de 2 Kio.
Quant à la puce à l'emplacement U4 il s'agit donc probablement d'une mémoire RAM :
- de 8 Kio donnant bien 2+8=10 Kio sur PM-120
- de 32 Kio donnant bien 2+32=34 Kio sur PM-140
Sur le PocketMate 300 l'emplacement U10 est laissé vide, ce qui ne fait donc bien que 128 Kio.
Mais cela nous permet surtout de remarquer que chaque emplacement est en fait double, avec des U11 et U12 respectivement dans les U9et U10, destinés à accueillir des puces plus petites.
Notons d'ailleurs une curiosité avec une espèce de feuille non solidarisée au dos de l'écran sur le seul PM-140.
En effet le PM-140 est le seul modèle offrant un éclairage de l'écran, et c'est cette feuille qui le fournit comme tu peux le constater ci-contre.
Crédits images : PM-100 et PM-120