Les TI-83 Premium CE et TI-84 Plus CE gèrent les claviers USB depuis la mise à jour 5.1.5.
Dans un article précédent, nous refaisions la sérigraphie d'un clavier Qwerty afin de l'optimiser pour une utilisation sur TI-83 Premium CE.
Les TI-Nspire CX II sorties depuis gèrent d'origine non seulement les claviers USB mais également les souris USB, même si rien d'officiel n'a à ce jour été annoncé à ce sujet.
Tu l'ignorais peut-être, mais Texas Instruments a déjà sorti un clavier pour ses calculatrices, le TI-Keyboard.
Le clavier est compatible avec l'ensemble des modèles suivants :
En gros, quasiment toutes les calculatrices de Texas Instruments avec un système d'exploitation en mémoire Flash pouvant être mise à jour, et munies du port série historique mini-Jack 2.5.
Seule exception à cette règle, les TI-73 et TI-73 Explorer qui ne supportent pas ce clavier.
En effet, le clavier se connecte sur le port série historique mini-Jack 2.5, et ne peut donc plus être utilisé sur les modèles successeurs où ce port a disparu, plus précisément remplacé par la diode examen dans le cas de la TI-82 Advanced.
Aujourd'hui, CVSoft te propose une exploration matérielle totalement inédite du matériel du TI-Keyboard. Si si, personne n'avais jamais jugé bon de démonter ce périphérique. Nous allons enfin découvrir ce qu'il peut bien dissimuler en dehors des touches.
Le port mini-Jack 2.5 est donc solidaire d'une carte électronique SK-6701-QFP de chez Silitek, un constructeur Taiwanais justement sécialisé dans les claviers et périphériques d'entrée.
C'est cette carte qui a donc ici pour rôle de convertir les appuis de touche en un signal série compréhensible par la calculatrice.
Retournons-la puisqu'il n'y a pas beaucoup d'électronique de ce côté.
La carte s'articule donc autour d'une puce EM78P451AQ de chez ELAN. Prenant ici la forme d'un boitier QFP 4×11=44 broches, elle renferme un microcontrôleur 8-bits muni de 6,5K de ROM et justement spécialisé dans les communications filaires avec son intégration d'un bus SPI (Serial Peripheral Interface) et son implémentation du protocole RS-232.
Et non pour une fois, il n'y a visiblement rien de chez TI dans ce périphérique pourtant estampillé Texas Instruments. La conception semble avoir intégralement été externalisée auprès de Silitek.
Dans un article précédent, nous refaisions la sérigraphie d'un clavier Qwerty afin de l'optimiser pour une utilisation sur TI-83 Premium CE.
Les TI-Nspire CX II sorties depuis gèrent d'origine non seulement les claviers USB mais également les souris USB, même si rien d'officiel n'a à ce jour été annoncé à ce sujet.
Tu l'ignorais peut-être, mais Texas Instruments a déjà sorti un clavier pour ses calculatrices, le TI-Keyboard.
Le clavier est compatible avec l'ensemble des modèles suivants :
- TI-82 Plus
- TI-83 Plus
- TI-83 Plus Silver Edition
- TI-83 Plus.fr
- TI-83 Plus.fr USB
- TI-84 Plus
- TI-84 Plus Silver Edition
- TI-84 Pocket.fr
- TI-84 Plus Pocket SE
- TI-84 Plus C Silver Edition
- TI-89
- TI-89 Titanium
- TI-92 Plus
- TI-Voyage 200
En gros, quasiment toutes les calculatrices de Texas Instruments avec un système d'exploitation en mémoire Flash pouvant être mise à jour, et munies du port série historique mini-Jack 2.5.
Seule exception à cette règle, les TI-73 et TI-73 Explorer qui ne supportent pas ce clavier.
En effet, le clavier se connecte sur le port série historique mini-Jack 2.5, et ne peut donc plus être utilisé sur les modèles successeurs où ce port a disparu, plus précisément remplacé par la diode examen dans le cas de la TI-82 Advanced.
Aujourd'hui, CVSoft te propose une exploration matérielle totalement inédite du matériel du TI-Keyboard. Si si, personne n'avais jamais jugé bon de démonter ce périphérique. Nous allons enfin découvrir ce qu'il peut bien dissimuler en dehors des touches.
Le port mini-Jack 2.5 est donc solidaire d'une carte électronique SK-6701-QFP de chez Silitek, un constructeur Taiwanais justement sécialisé dans les claviers et périphériques d'entrée.
C'est cette carte qui a donc ici pour rôle de convertir les appuis de touche en un signal série compréhensible par la calculatrice.
Retournons-la puisqu'il n'y a pas beaucoup d'électronique de ce côté.
La carte s'articule donc autour d'une puce EM78P451AQ de chez ELAN. Prenant ici la forme d'un boitier QFP 4×11=44 broches, elle renferme un microcontrôleur 8-bits muni de 6,5K de ROM et justement spécialisé dans les communications filaires avec son intégration d'un bus SPI (Serial Peripheral Interface) et son implémentation du protocole RS-232.
Et non pour une fois, il n'y a visiblement rien de chez TI dans ce périphérique pourtant estampillé Texas Instruments. La conception semble avoir intégralement été externalisée auprès de Silitek.