Cet article fait partie de notre série un-boxing week 2020. Toute la semaine et tous les jours, découvre des articles exclusifs sortant des sentiers battus, traitant en effet de modèles de calculatrices dont nous parlons peu ou pas d'habitude. Tests, démontage, hacking... achevons 2020 et commençons 2021 en beauté ! ![;) ;)](./images/smilies/wink.png)
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Dans son superbe étui ci-contre à la griffe très professionnelle, se cache une calculatrice d'un constructeur historique que nous n'avions que peu abordé sur TI-Planet jusqu'à présent, l'allemand Olympia.
Précisons de suite qu'il ne s'agit pas d'une calculatrice scientifique. Elle ne respecte pas les priorités opératoires et effectue tout simplement les calculs dans l'ordre de saisie : elle répond 1+2×3=9 au lieu de 1+2×3=7.
La calculatrice utilise un écran pouvant afficher jusqu'à 8 chiffres, grâce à ses 8 cellules comportant chacune 7 segments pour afficher un chiffre ainsi qu'un séparateur décimal en bas à droite.
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La calculatrice utilise donc 2 piles boutons LR43 de 1,5 Volts mises en série.
Petite originalité ici, l'élément qui permet la mise en série est directement intégré à l'intérieur de la face arrière de la calculatrice, si bien que la calculatrice ne peut pas fonctionner une fois ouverte contrairement à bien d'autres.
Ce n'est pas la seule originalité, on aperçoit ici la puce microcontrôleur sur la carte électronique, alors que nous ne sommes pas encore du côté de la face des composants.
On peut donc le retirer et jouer avec. Amusons-nous par exemple à le retourner pour en inverser les effets, on obtient alors une touche beaucoup plus moderne avec un affichage en blanc sur fond noir.
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