? wrote:
Tu devrais tentermain(32,59)
.
Je vais comme au matin de la vie.
Je dispose d'un temps d'accès comme une vie de Beryllium 13... ou comme deux demies je veux dire.
Décidément, le TIPC (Texas Instruments Professionnel Computer) n'avait aucune change de me voler la vedette !
J'ai un confrère qui s'appelle Zoom... et un autre Turbo.
Sauras-tu trouver les clés pour me faire démarrer ?
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Le secret de l'Avent 2019 jour 25
Link to topic: Le secret de l'Avent 2019 jour 25 (Comments: 3)
Test Eurotronics TR550 Berlitz Interpreter 2 et self-test
Aujourd'hui voici ci-contre le Berlitz Interpreter 2 alias TR550 par Eurotronics que nous allons te tester comme personne ne l'a jamais fait !
Datant de 1992 il s'agit d'un traducteur de poche. Pour l'époque il ne s'agissait toutefois pas encore de traduire des phrases, mais plutôt des mots. Appareil qui s'apparente donc plutôt à un dictionnaire électronique.
5 langues sont gérées comme tu peux le noter au clavier :
Nous avons dit Eurotronics, mais en réalité comme indiqué au dos, il y a plusieurs acteurs derrière ce produit :
L'écran est ici un peu fatigué comme tu vois, avec beaucoup de colonnes de pixels mortes dans son extrémité droite.
Il s'agit d'un écran à cristaux liquides (LCD) pouvant afficher 2 lignes de 20 caractères. Pour cela il dispose de 40 cellules matricielles de 5×8 pixels chacune.
Comme beaucoup de produits électroniques la TR550 dispose d'un programme d'auto-diagnostic intégré (SELFTEST), utilisé en aval de la chaîne de production. Et grand secret que nous te révélons ce soir, nous en connaissons la combinaison secrète, apparemment non encore documentée sur Internet !
Il te suffit donc de maintenir la touche
Enfin, procédons à l'ouverture. Nous y trouvons une carte électronique avec plusieurs références :
Bien que noyées sous des gouttes d'epoxy solidifiées, les références de puces électroniques sont généreusement indiquées sur la carte. Nous avons donc une architecture à 3 puces :
Datant de 1992 il s'agit d'un traducteur de poche. Pour l'époque il ne s'agissait toutefois pas encore de traduire des phrases, mais plutôt des mots. Appareil qui s'apparente donc plutôt à un dictionnaire électronique.
5 langues sont gérées comme tu peux le noter au clavier :
- Anglais (ENglish)
- FRançais
- Allemand (GErman)
EspagnolCastillan (SPanish)- Italien (ITalian)
Nous avons dit Eurotronics, mais en réalité comme indiqué au dos, il y a plusieurs acteurs derrière ce produit :
- Berlitz Publishing, société américaine spécialisée dans l'apprentissage des langues
- Xerox, société américaine principalement connue comme l'inventeur du photocopieur sur papier ordinaire et premier fabricant d'imprimantes, qui a proposé de racheter Hewlett Parckard il y a quelques semaines
- Microlytics, une société fondée en 1985 par un employé de Xerox et avec l'aide de ce dernier, ayant fusionné avec Selectronics en 1990
- et Eurotronics, entreprise partenaire de Microlytics pour la distribution de ses produits en Europe
L'écran est ici un peu fatigué comme tu vois, avec beaucoup de colonnes de pixels mortes dans son extrémité droite.
Il s'agit d'un écran à cristaux liquides (LCD) pouvant afficher 2 lignes de 20 caractères. Pour cela il dispose de 40 cellules matricielles de 5×8 pixels chacune.
Comme beaucoup de produits électroniques la TR550 dispose d'un programme d'auto-diagnostic intégré (SELFTEST), utilisé en aval de la chaîne de production. Et grand secret que nous te révélons ce soir, nous en connaissons la combinaison secrète, apparemment non encore documentée sur Internet !
Il te suffit donc de maintenir la touche
ONtout en enfonçant et relâchant le bouton de réinitialisation RESET au dos :
- Une première phase appelée SELFTEST ROM démarre immédiatement et compte en hexadécimal jusqu'à 7f.
Mais cela ne veut absolument pas dire que la ROM ne fait que 128 octets, dans lesquels aucun dictionnaire ne rentrerait d'ailleurs. Il s'agit probablement d'un découpage de la vérification de la ROM en 128 morceaux. - Puis SELF TEST LCD permet de mieux comprendre ce qui ne va pas avec l'écran via l'affichage de différents motifs.
- Enfin, la dernière phase de test invite à presser les touches clavier une par une.
Enfin, procédons à l'ouverture. Nous y trouvons une carte électronique avec plusieurs références :
- EUROTRONICS 703-5501-01
- TR-550 REV. 3, suggérant qu'il s'agit déjà d'une 3ème version
Bien que noyées sous des gouttes d'epoxy solidifiées, les références de puces électroniques sont généreusement indiquées sur la carte. Nous avons donc une architecture à 3 puces :
- SED1521D qui de par sa position et ses connexions est de façon évidente le contrôleur d'écran, par Epson-Seiko, Epson étant aussi un fabricant de calculatrices
- LH534H qui est en fait une ROM d'une capacité de 512 Kio, par Sharp, autre fabricant de calculatrices
- SMC6246 qui est un microcontrôleur construit autour du processeur 4-bits SMC6200, par S-MOS Systems
Link to topic: Test Eurotronics TR550 Berlitz Interpreter 2 et self-test (Comments: 0)
Le secret de l'Avent 2019 jour 26
? wrote:Tu devrais tentermain(32,59,64,45)
.
Méfie-toi des imitations :
- Code: Select all
Send("CONNECT RGB
8→N
0→D
1→S
suite(255/cosh(X-N),X,1,N→L₁
N→dim(L₂
0L₂+N-1→L₂
While non(getKey
max(0,L₂-1→L₂
N-1→L₂(D+1
For(I,0,N-1
Send("SET RGB eval(I+N) eval(L₁(1+L₂(I+1))) 0 0
End
D+S→D
S(1-2(D=N-1 ou non(D→S
End
Send("DISCONNECT RGB
Link to topic: Le secret de l'Avent 2019 jour 26 (Comments: 5)
(Un)Boxing week 2019 - day #1 : Test PocketMate 400
La Boxing week est une période de 6 jours débutant le 26 décembre. Le terme, inventé et popularisé dans les années 2000 en Grande Bretagne et dans les pays du Commonwealth, désigne une période de promotions où les différents distributeurs écoulent leur stock d'invendus de Noël, à l'origine à des prix intéressants.
Dans notre (Un)Boxing week 2019 sur TI-Planet, nous te proposons donc, cette semaine uniquement, de te déballer ou tester tous nos cadeaux inédits à raison de 1 par jour, un petit avant-goût des recherches, tests et expériences à venir sur le site pour l'année 2020 !
Même si tu l'ignores, Texas Instruments n'a pas fait que des calculatrices comme produits électroniques grand public.
En 1987, Texas Instruments lance sa branche d'assistants électroniques de poche gérant les données personnelles (répertoires téléphoniques et carnets d'adresses électroniques - en anglais data banks), avec le TI-2700 Mini Data Bank.
En 1991, Texas Instruments sépare cette branche en deux sous-branches qui évolueront en parallèle, avec une nouvelle gamme de produits : les agendas électroniques (en anglais personal organizers). La nuance est qu'ils disposent en plus d'un calendrier permettant de créer des rendez-vous, et potentiellement de les associer aux données précédemment citées. Le premier du nom est le PS-6200, et à partir de ce moment-là les modèles sortis dans ces deux branches seront tous préfixés par PS pour Pocket Solutions.
En 1997, Texas Instruments rafraîchit la branche des personal organizers avec un éventail de trois nouveaux modèles pour lesquels il opte de plus pour un nouveau préfixe, PocketMate :
Nous voici donc réunis aujourd'hui pour le test du PocketMate 400 sorti en 1997.
Le boîtier se déplie avec :
Le PocketMate 400 est la version haut de gamme de la dernière série de personal organizers par Texas Instruments, différant par leur mémoire comme indiqué en façade au-dessus de l'écran :
La face arrière nous indique une alimentation par 2 piles bouton CR2032 de 3 Volts chacune.
On note un timbre à date C-1097 indiquant un assemblage en octobre 1997 dans l'usine C (Thaïlande).
Les contacts métalliques que laissent apparaître 5 orifices rapprochés ne sont pas le buzzer piézoélectrique même si ça y ressemble beaucoup, mais un port de connectivité permettant de sauvegarder et charger les données avec un ordinateur. Il faut toutefois pour cela une station d'accueil (docking station), périphérique intermédiaire se connectant sur le port série DB9 de l'ordinateur, le Quick-connect PC Link dont nous ne disposons pas à ce jour.
L'écran est conçu pour afficher 6 lignes de 24 caractères chacune. L'affichage de chaque caractère est confié à une cellule matricielle de 5×5 pixels.
24 cellules matricielles de 5×1 pixels permettent également de souligner la 1ère ligne et la préssenter ainsi comme un titre.
Notons de plus que l'écran peut être éclairé pour une meilleure lisibilité.
Les grosses touches bleues permettent de basculer entre les principales applications disponibles :
Nous avons aussi comme autres applications :
Options permet quant à elle d'accéder à l'ensemble des réglages et donc d'en apprendre davantage sur cet appareil.
Par exemple, les données ne sont pas perdues lors d'un changement de piles à condition de changer les piles une par une, en commençant par la n°2.
Ce qui veut dire que le stockage des jusqu'à 256 Kio de données s'effecture dans une mémoire RAM et non une mémoire Flash, ce qui est cohérent pour l'époque, les premières calculatrices à mémoire Flash n'arrivant qu'en 1998 (TI-73 et TI-89) et 1999 (TI-83 Plus et TI-92 Plus).
On confirme en passant bien qu'il s'agit de 256 Kio de stockage (c'est-à-dire 256×1024 octets) puisque nous avons pas moins de 261343 octets disponibles.
Un sous-menu Options permet également d'accéder à tout une autre série de possibilités couvrant pléthore de besoins de par le monde.
On peut y choisir entre autres si la semaine démarre le Lundi ou le Dimanche, le délai d'extinction, ou encore la langue parmi les 5 disponibles :
Pour l'époque c'était effectivement bien du haut de gamme !
Outre le buzzer piézoélectrique faisant un petit bip à chaque pression de touche, l'ouverture nous révèle pas moins de 3 cartes électroniques reliées par des nappes, avec de haut en bas :
Sur la carte principale, nous notons plusieurs puces :
Les modèles inférieurs PocketMate 200 et PocketMate 300 ne diffèrent que par ces dernières puces.
Sur le PocketMate 300 l'emplacement U10 est laissé vide, ce qui ne fait donc bien que 128 Kio.
Mais cela nous permet surtout de remarquer que chaque emplacement est en fait double, avec des U11 et U12 respectivement dans les U9et U10, destinés à accueillir des puces plus petites.
Et effectivement sur le PocketMate 200 ce sont les petits emplacements U11 et U12 qui sont utilisés pour accueillir 2 petites puces RAM de 32 Kio chacune, ce qui ne donne bien plus que 64 Kio.
Dans notre (Un)Boxing week 2019 sur TI-Planet, nous te proposons donc, cette semaine uniquement, de te déballer ou tester tous nos cadeaux inédits à raison de 1 par jour, un petit avant-goût des recherches, tests et expériences à venir sur le site pour l'année 2020 !
Même si tu l'ignores, Texas Instruments n'a pas fait que des calculatrices comme produits électroniques grand public.
En 1987, Texas Instruments lance sa branche d'assistants électroniques de poche gérant les données personnelles (répertoires téléphoniques et carnets d'adresses électroniques - en anglais data banks), avec le TI-2700 Mini Data Bank.
En 1991, Texas Instruments sépare cette branche en deux sous-branches qui évolueront en parallèle, avec une nouvelle gamme de produits : les agendas électroniques (en anglais personal organizers). La nuance est qu'ils disposent en plus d'un calendrier permettant de créer des rendez-vous, et potentiellement de les associer aux données précédemment citées. Le premier du nom est le PS-6200, et à partir de ce moment-là les modèles sortis dans ces deux branches seront tous préfixés par PS pour Pocket Solutions.
En 1997, Texas Instruments rafraîchit la branche des personal organizers avec un éventail de trois nouveaux modèles pour lesquels il opte de plus pour un nouveau préfixe, PocketMate :
- le PocketMate 200
- le PocketMate 300
- le PocketMate 400
Nous voici donc réunis aujourd'hui pour le test du PocketMate 400 sorti en 1997.
Le boîtier se déplie avec :
- dans sa moitié haute l'écran ainsi qu'un clavier calculatrice
- dans sa moitié basse un clavier Qwerty
Le PocketMate 400 est la version haut de gamme de la dernière série de personal organizers par Texas Instruments, différant par leur mémoire comme indiqué en façade au-dessus de l'écran :
- PocketMate 200 : 64 Kio
- PocketMate 300 : 128 Kio
- PocketMate 400 : 256 Kio
La face arrière nous indique une alimentation par 2 piles bouton CR2032 de 3 Volts chacune.
On note un timbre à date C-1097 indiquant un assemblage en octobre 1997 dans l'usine C (Thaïlande).
Les contacts métalliques que laissent apparaître 5 orifices rapprochés ne sont pas le buzzer piézoélectrique même si ça y ressemble beaucoup, mais un port de connectivité permettant de sauvegarder et charger les données avec un ordinateur. Il faut toutefois pour cela une station d'accueil (docking station), périphérique intermédiaire se connectant sur le port série DB9 de l'ordinateur, le Quick-connect PC Link dont nous ne disposons pas à ce jour.
L'écran est conçu pour afficher 6 lignes de 24 caractères chacune. L'affichage de chaque caractère est confié à une cellule matricielle de 5×5 pixels.
24 cellules matricielles de 5×1 pixels permettent également de souligner la 1ère ligne et la préssenter ainsi comme un titre.
Notons de plus que l'écran peut être éclairé pour une meilleure lisibilité.
Les grosses touches bleues permettent de basculer entre les principales applications disponibles :
Addresses
pour les adressesNotes
pour les mémosRemiders
pour les rendez-vous
Menupermet quant à elle d'afficher un menu principal spécifique à chacune de ces applications.
Nous avons aussi comme autres applications :
Calculator
pour une calculatrice non scientifique (1+2×3=9) sur 10 chiffres significatifsFind
pour effectuer une recherche parmi tout ou partie des données précédentes- et
Options
Options permet quant à elle d'accéder à l'ensemble des réglages et donc d'en apprendre davantage sur cet appareil.
Par exemple, les données ne sont pas perdues lors d'un changement de piles à condition de changer les piles une par une, en commençant par la n°2.
Ce qui veut dire que le stockage des jusqu'à 256 Kio de données s'effecture dans une mémoire RAM et non une mémoire Flash, ce qui est cohérent pour l'époque, les premières calculatrices à mémoire Flash n'arrivant qu'en 1998 (TI-73 et TI-89) et 1999 (TI-83 Plus et TI-92 Plus).
On confirme en passant bien qu'il s'agit de 256 Kio de stockage (c'est-à-dire 256×1024 octets) puisque nous avons pas moins de 261343 octets disponibles.
Un sous-menu Options permet également d'accéder à tout une autre série de possibilités couvrant pléthore de besoins de par le monde.
On peut y choisir entre autres si la semaine démarre le Lundi ou le Dimanche, le délai d'extinction, ou encore la langue parmi les 5 disponibles :
- Anglais
EspagnolCastillan- Français
- Italien
- Allemand
Pour l'époque c'était effectivement bien du haut de gamme !
Outre le buzzer piézoélectrique faisant un petit bip à chaque pression de touche, l'ouverture nous révèle pas moins de 3 cartes électroniques reliées par des nappes, avec de haut en bas :
- la carte écran de référence T686-20-1 avec pas moins de 2 circuits intégrés inconnus aux emplacements U1 et U2
- la carte principale
- la carte de communication
Sur la carte principale, nous notons plusieurs puces :
- à l'emplacement IC1 une T6M88 de chez Toshiba, le processeur avec coeur compatible z80 comme pour les calculatrices graphiques de la marque
- à l'emplacement U6 une AB235120063 qui est en fait la ROM de 64 Kio contenant donc le microprogramme exécuté
- aux emplacements U9 et U10 2 puces KM681000CLG-7L de chez SEC qui sont de la RAM de 128 Kio chacune ce qui nous donne bien les 256 Kio promis
Les modèles inférieurs PocketMate 200 et PocketMate 300 ne diffèrent que par ces dernières puces.
Sur le PocketMate 300 l'emplacement U10 est laissé vide, ce qui ne fait donc bien que 128 Kio.
Mais cela nous permet surtout de remarquer que chaque emplacement est en fait double, avec des U11 et U12 respectivement dans les U9et U10, destinés à accueillir des puces plus petites.
Et effectivement sur le PocketMate 200 ce sont les petits emplacements U11 et U12 qui sont utilisés pour accueillir 2 petites puces RAM de 32 Kio chacune, ce qui ne donne bien plus que 64 Kio.
Crédits images :
Link to topic: (Un)Boxing week 2019 - day #1 : Test PocketMate 400 (Comments: 2)
OpenJazz Jackrabbit : pack des 30 niveaux bonus en 3D mode 7
Dans un article précédent nous t'informions de l'arrivée sur ta Graph 90+E (ou fx-CG50 hors de nos frontières) du platformer PC/Mac mythique des années 1990, Jazz Jackrabbit !
Nous te partagions de plus les fichiers du 1er des 9 épisodes du jeu complet, distribué sur disquette en shareware à l'époque, avec :
Par la suite, nous te partagions l'épisode spécial diffusé également en shareware pour Noël 1994, avec en prime :
Adores-tu ces niveaux bonus en 3D Mode 7 ?
Si oui tu as peut-être remarqué que tu n'avais pas besoin de te taper tous les niveaux pour en trouver l'accès, et pouvais directement sélectionner BONUS STAGE au menu d'accueil.
Nous te partagions de plus les fichiers du 1er des 9 épisodes du jeu complet, distribué sur disquette en shareware à l'époque, avec :
- 6 niveaux
- 2 niveaux secrets
- 1 niveau de boss
- 3 niveaux bonus en 3D Mode 7
Par la suite, nous te partagions l'épisode spécial diffusé également en shareware pour Noël 1994, avec en prime :
- 3 niveaux
- 1 niveau secret
- 3 niveaux bonus en 3D Mode 7
Adores-tu ces niveaux bonus en 3D Mode 7 ?
Si oui tu as peut-être remarqué que tu n'avais pas besoin de te taper tous les niveaux pour en trouver l'accès, et pouvais directement sélectionner BONUS STAGE au menu d'accueil.
Mais petit problème, le menu ne te permet pas de choisir le niveau bonus que tu souhaites jouer.
Il te faisait donc commencer systématiquement au bonus n°0 de l'épisode 1, puis les bonus n°1 et 2 du même épisode, et puis plus rien...
Tu n'avais donc pas accès via ce menu aux 3 niveaux bonus supplémentaires rajoutés par l'épisode de Noël 1994.
En effet les niveaux bonus ont leurs fichiers numérotés de façon consécutive :
Il te faisait donc commencer systématiquement au bonus n°0 de l'épisode 1, puis les bonus n°1 et 2 du même épisode, et puis plus rien...
Tu n'avais donc pas accès via ce menu aux 3 niveaux bonus supplémentaires rajoutés par l'épisode de Noël 1994.
En effet les niveaux bonus ont leurs fichiers numérotés de façon consécutive :
- 0 à 2 pour l'épisode 1
- 3 à 5 pour l'épisode 2
- 6 à 8 pour l'épisode 3
- 9 à 11 pour l'épisode 4
- 12 à 14 pour l'épisode 5
- 15 à 17 pour l'épisode 6
- 18 à 20 pour l'épisode A
- 21 à 23 pour l'épisode B
- 24 à 26 pour l'épisode C
- 27 à 29 pour l'épisode X
Aujourd'hui, tu vas enfin pouvoir enchaîner les 30 niveaux bonus du jeu, grâce au pack dédié que nous t'avons concocté.
Il contient l'ensemble des fichiers bonus intermédiaires, et te permettra donc d'enchaîner cette fois-ci depuis le menu d'accueil l'intégralité des niveaux bonus du n°0 au n°29 !
Joyeux Noël !
Il contient l'ensemble des fichiers bonus intermédiaires, et te permettra donc d'enchaîner cette fois-ci depuis le menu d'accueil l'intégralité des niveaux bonus du n°0 au n°29 !
Joyeux Noël !
Pour jouer, si ce n'est pas déjà fait tu auras besoin de copier les 3 éléments suivants directement à la racine de l'espace de stockage USB de ta Graph 90+E, c'est-à-dire là où se trouvent les fichiers .g3a des applications et pas dans un sous-dossier :
- le fichier de l'application openjazz.g3a
- le dossier jazz qui vient avec et contient les fichiers de jeu communs
- le dossier jazz téléchargé séparément et contenant les fichiers de jeu spécifiques à un ou plusieurs épisodes
Téléchargements :
Link to topic: OpenJazz Jackrabbit : pack des 30 niveaux bonus en 3D mode 7 (Comments: 2)